Cet article date de plus de six ans.

Hervé Laplante, le médecin qui met en scène les maux du quotidien dans "Petites histoires de la médecine"

Hervé Laplante est médecin à Mouchard, dans le Jura. Mais le soir, il délaisse son stéthoscope pour se produire sur scène. Il raconte les "Petites histoires de la médecine" largement inspirées de son quotidien de généraliste. Il est sur scène ce soir au Petit Kursaal de Besançon.
Article rédigé par franceinfo - J.M.Ogier, L.Ducrozet
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1min
Hervé Laplante sur scène
 (Studio Kanopé / capture d'écran)

Mouchard, Jura. 1100 habitants. Son école du bois de renommée internationale. Deux Muscadiens célèbres : la productrice de cinéma Christine Gouze-Rénal et Félix Gaffiot, philologue. Deux personalités auxquelles il convient d'en ajouter une désormais : Hervé Laplante, médecin généraliste le jour, comédien le soir.

Il quitte alors sa "blouse blanche" (qu'il ne porte pas) pour son costume de scène et s'en va raconter les "Petites histoires de la médecine". Son spectacle humoristique écrit avec Guy Bolet et mise en scène par Denis Verguet, est basé sur son vécu, sur l'observation des situations qu'il connaît au quotidien, soit dans son cabinet soit dans ses visites à domicile.

"Peut-on rire de tout? Sans doute non car il y a des situations en consultation ou franchement on n'a pas envie de rire. Mais on s'aperçoit que dans 85 à 90% des cas on peut arriver à tirer le petit effet bénéfice, la petite pointe de rigolade et d'humour qui va détendre le patient.


Reportage France3 Franche-Comté : L. Ducrozet, H. Perret, M. Blanc
Cela fait longtemps qu'Hervé Laplante se partage entre ses deux passions. Ses "Petites histoires de la médecine" font suite à un premier spectacle intitulé "Les folles aventures du Docteur Cloné". Dans ce nouveau spectacle, il est aux prises avec une vieille dame hypocondriaque.

Hervé Laplante aimerait se produire au prochain Festival d'Avignon. En attendant il est en scène ce soir à 20h30 au Kursaal de Besançon.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.