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Un amour de ballet à Metz : le Roméo et Juliette de Prokofiev
Le célèbre ballet de Prokofiev s’installe pour trois représentations à Metz. C’est une création de l’Opéra-Théâtre de Metz-Métropole et du ballet national de Lorraine sur une chorégraphie de Valentina Turcu et Leo Mujic. Les 13, 14 et 15 mars à 20 heures.
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Temps de lecture : 2min
Reportage : René Elkaim, Sébastien Rock et Elisabeth Targe
Roméo et Juliette, c’est l’invincibilité de l’amour face à l’intolérance des Hommes, dût-il vivre éternellement dans la mort. C’est l’insouciance des amoureux confrontés à la puissance du pouvoir et c’est enfin un tragique contretemps qui aboutit au suicide des amants.
L'argument
Ce thème de la passion amoureuse, des espoirs et de ses souffrances, William Shakespeare en a écrit l’argument : à Vérone, Roméo Montaigu et Juliette Capulet, deux jeunes gens, tombent amoureux fous l’un de l’autre au cours d’un bal masqué. Tout serait pour le mieux si les deux amants n’appartenaient à des familles nobles qui se déchirent. Leur amour ne survivra pas à ces dissensions. Seul le suicide de l'un et de l'autre rendra leur amour éternel. L'éternelle tragédie de l'amour
Tous les ingrédients de la tragédie sont présents dans cette oeuvre : la passion, la pureté de l’amour, son invincibilité et son incompréhension de la logique du monde. Mais aussi les jeux de pouvoir et sa volonté d’y soumettre les individus. C’est enfin la mort et la quête de rédemption. Prokofiev veurt une oeuvre brillante
En 1935, Serge Prokofiev a voulu mettre cette tragédie en musique. Il compose alors une oeuvre billante et complexe, parfois trop puisque les danseurs la jugent impossible à danser.
Prokofiev se remet à l’ouvrage pour produire ce ballet en trois actes qui fut créé en 1938 à Brno en République Tchèque.
La version proposée à l’Opéra-Théâtre de Metz-Métropole est signée Valentina Turcu et Leo Mujic, deux chorégraphes croates. L'Orchestre national de Lorraine assure la partie musicale. La danseuse Kim est Juliette. 3 représentations sont prévues vendredi 13, samedi 14 et dimanche 15 mars à 20 heures.
Ce thème de la passion amoureuse, des espoirs et de ses souffrances, William Shakespeare en a écrit l’argument : à Vérone, Roméo Montaigu et Juliette Capulet, deux jeunes gens, tombent amoureux fous l’un de l’autre au cours d’un bal masqué. Tout serait pour le mieux si les deux amants n’appartenaient à des familles nobles qui se déchirent. Leur amour ne survivra pas à ces dissensions. Seul le suicide de l'un et de l'autre rendra leur amour éternel. L'éternelle tragédie de l'amour
Tous les ingrédients de la tragédie sont présents dans cette oeuvre : la passion, la pureté de l’amour, son invincibilité et son incompréhension de la logique du monde. Mais aussi les jeux de pouvoir et sa volonté d’y soumettre les individus. C’est enfin la mort et la quête de rédemption. Prokofiev veurt une oeuvre brillante
En 1935, Serge Prokofiev a voulu mettre cette tragédie en musique. Il compose alors une oeuvre billante et complexe, parfois trop puisque les danseurs la jugent impossible à danser.
Prokofiev se remet à l’ouvrage pour produire ce ballet en trois actes qui fut créé en 1938 à Brno en République Tchèque.
La version proposée à l’Opéra-Théâtre de Metz-Métropole est signée Valentina Turcu et Leo Mujic, deux chorégraphes croates. L'Orchestre national de Lorraine assure la partie musicale. La danseuse Kim est Juliette. 3 représentations sont prévues vendredi 13, samedi 14 et dimanche 15 mars à 20 heures.
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