Extra : la danse fait un pont d'Annecy à Tunis
Les premiers signes de liberté artistique apparus pendant la révolution de Jasmin furent les graffitis et autres pochoirs qui peuplèrent les murs de la ville, mélanges de revendication et d'expression des plus grands peintres et illustrateurs du pays. Ce reportage de France 24 en témoigne ici.
L'euphorie artistique a gagné la rue et les scènes ou se croisent des danseurs de hip hop, de contemporain, des pièces de théâtre avant-gardistes. Il ne faudrait pas oublier pour autant certaines inclinaisons bien moins ouvertes du pouvoir et de la justice qui ont, par exemple, condamné la diffusion de Persépolis à la télévision.
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