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Rock en Seine : de Macklemore à Liam Gallagher, les temps forts de samedi et dimanche
Article rédigé par
franceinfo
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Gilles Scarella, Olivier Flandin, Lisa Macineiras, Bertrand Mallen, Medhi Weber et Laure Narlian
France Télévisions
Publié le 27/08/2018 20:44
Mis à jour le 28/08/2018 10:49
Retour en images sur les moments forts du week end à Rock en Seine avec les photos de Thirty Seconds to Mars, Macklemore, Fat White Family, Insecure Men, Liam Gallagher, Confidence Man, Wolf Alice, IDLES, Post Malone, Justice, Cigarettes After Sex, Anna Calvi, Tamino, King Gizzard & The Lizard Wizard, Black Star, PLK...
Gilles Scarella / FTV
"Je ne suis jamais monté sur cette scène, mais je connais bien les coulisses !" Liam Gallagher, l'air pensif et un peu boudeur sur la grande scène de Rock en Seine, neuf ans après la séparation du groupe Oasis ici même. (Lire notre compte-rendu du concert ici)
(Olivier Flandin FTV)
Liam Gallagher a dédié une chanson à son frère Noel, et proposé une nouvelle fois d'enterrer la hache de guerre.
(Olivier Flandin FTV)
"Cette scène est aussi grande que tous nos appartements réunis !" Theo Lawrence and The Hearts ne sont pas des habitués des grands festivals mais ils ont brillamment réussi l'ouverture de la grande scène de Rock en Seine pour cette seconde journée. Au fil d'un répertoire qui sonne comme un véritable voyage dans l'histoire de la bonne musique des Etats-Unis, du blues à la soul, on a du mal à réaliser qu’ils débarquent de ... Gentilly dans le Val-de-Marne.
(Olivier Flandin FTV)
Le concert de Otzeki restera un des grands souvenirs de cette édition de Rock en Seine. Sur la scène de l'Industrie dimanche après-midi, Mike, le chanteur habité du duo londonien, a régulièrement quitté la scène pour s'immerger dans la foule, en tirant le fil de son micro.
(Gilles Scarella / FTV)
Solo de guitare et lunettes noires pour un début de concert enragé. Anna Calvi joue en trio sur scène avec un son très brut qui lui va divinement bien.
(Olivier Flandin FTV)
La voix androgyne et langoureuse du chanteur des "Cigarettes After Sex" a jeté un sort au public de Rock en Seine, samedi. Silencieux, les yeux fermés, les festivaliers se sont laissés aller à un état second déclenché par l'ambient pop sensuel des Texans. (Lire notre interview et compte-rendu ici)
(Gilles Scarella / FTV)
Stu Mackenzie, le leader des King Gizzard, samedi à Rock en Seine. Pour la dernière date de sa tournée, il a enchaîné les riffs énervés et les headbangs, campé sur son grand écart impressionnant. Un show résolument survolté que les festivaliers semblent avoir apprécié. Dans le public, certains ont slamé et plusieurs pogos ont éclaté. (Lire notre compte-rendu du concert et portrait ici)
(Gilles Scarella / FTV)
Jared Leto de Thirty Seconds To Mars en grand gourou des foules à Rock en Seine samedi soir. Son show monumental s'est terminé en apothéose, entouré de sa horde de fans sous une pluie de confettis. (Lire le compte-rendu détaillé de cet incroyable show)
(Gilles Scarella / FTV)
Les fans de Jared Leto sont parfois venus de très loin pour assister au concert très animé et coloré de Thirty Seconds to Mars.
(Gilles Scarella FTV)
Le jeune rappeur parisien PLK, accompagné de son complice Ormaz du collectif Panama Bende, a confirmé tout le bien que l'on pensait de lui samedi à Rock en Seine. Durant son concert court mais très maîtrisé sur la scène de l'Industrie, il a annoncé au micro que ses deux impeccables mixtapes, "Ténébreux" (2017) et "Platinum" (2018), seraient suivies d'un premier album en octobre. On attend avec impatience la galette de ce futur grand du rap français.
(Gilles Scarella / FTV)
Sans conteste l'une des principales têtes d'affiche du festival, le rappeur américain Macklemore a promis d'emblée de mettre "le fire" dimanche soir sur la grande scène. Et il a effectivement mis le feu avec un show endiablé, joyeux et sans temps morts, comblant Paris, sa "ville d'Europe préférée" où il il sent "beaucoup d'amour" et est "toujours bien accueilli" par ses fans. Macklemore a ameneé sa petite fille sur scène pour un "bonjour" timide en français dans le texte puis a fait huer Donald "Chump" (crétin), en appelant à lutter contre la haine et la peur et à accueillir "la diversité qui embellit le monde".
(Gilles Scarella / FTV)
(Gilles Scarella / FTV)
(Gilles Scarella FTV)
Ancien rocker, Post Malone est aujourd'hui le rappeur numero un aux Etats-Unis. Lui que l'on a vu la semaine passée aux VMA partager la scène avec Aerosmith, donnait son premier gros concert en France et pas sur la plus grande scène du festival mais sur la seconde en taille, celle de la Cascade. Peu avant 21h, les jeunes festivaliers en provenance du concert de Macklemore couraient du coup comme une volée d'hirondelles en zigzagant parmi la foule pour ne pas louper une miette de sa présence. Seul sur scène, il a alterné tout du long rage et douceur, anciens tubes et nouveautés. Entamant par le déchirant "Too Young", son hit de 2015, il a enchaîné avec le récent "Better Now" extrait de son album "Beerbongs & Bentleys" avant de revenir à 2016 avec "No Option".
(Gilles Scarella FTV)
Le très prometteur Tamino a hypnotisé le public conquis par sa performance vocale et la beauté de ses chansons. A écouter de toute urgence pour ceux qui aiment Leonard Cohen et Tim Buckley. (Lire notre compte-rendu et interview de Tamino ici)
(Gilles Scarella FTV)
Saul Adamczewski, le guitariste de Fat White Family est aussi le chanteur de Insecure Men. Les deux groupes se sont succédés sur une scène du Bosquet décidément très familiale ce samedi soir.
(Olivier Flandin / FTV)
Yasiin Bey alias Mos Def et Talib Kweli de Black Star se sont reformés pour une tournée vingt ans après leur formidable album commun de 1998. Samedi à Rock en Seine, ils ont rejoué des titres communs de ce disque, dont les inusables "Definition", "Re: Definition" et "Brown Skin Lady" mais dans des versions parfois méconnaissables. Ils étaient en effet entourés sur scène d'une dizaine de musiciens vêtus de blanc, dont une importante section de cuivres, ainsi que d'un DJ. Les deux complices ont également joué des titres de leurs carrières solo comme "My Umi Says" de Mos Def.
(Gilles Scarella / FTV)
Formation à géométrie variable, Onyx Collective peut compter une douzaine de musiciens avec des allures de fanfare jazz expérimentale. C'est un groupe plus resserré, axé sur un répertoire de smooth hip hop qu'a pu découvrir le public de Rock en Seine samedi sur la scène du Bosquet.
(Gilles Scarella FTV)
Gaspard et Xavier de Justice ont clos le festival dimanche soir sur la Grande scène, avec une dispositif scénographique impressionnant et un set joueur et musclé parsemé de surprises. (Voir le premier quart d'heure du concert et lire notre itnterview dans laquelle Gaspard dévoile les secrets des live explosifs du duo).
(Gilles Scarella / FTV)
Le punk pétillant aux accents sixties de The Regrettes restera comme l'une des belles sensations de cette édition du festival. La pelouse de la scène de la Cascade se souviendra longtemps de leur reprise explosive de "Killing In The Name" de Rage Against The Machine.
(Olivier Flandin)
Accompagnée d'une scénographie qui brille de mille feux et des mélodies aux accents électro, la voix de Charlotte Gainsbourg n'a jamais résonné avec autant de puissance et d'énergie. Un show haut en couleurs qui a conquis les festivaliers de Rock en Seine samedi soir. (Lire le compte-rendu du concert et l'interview de Charlotte Gainsbourg au 20h de France 2)
(Medhi Weber)
Pour les Anglais complétement frappés de Idles, le n'importe quoi est élevé au rang d'art de vivre. Jouer de la guitare juchés sur les épaules de leurs fans ou clore le concert par une reprise absurde de Mariah Carey ne leur fait pas peur ! (Lire notre compte-rendu et revoir leur concert ici)
(Gilles Scarella / FTV)
Rouge à lèvre et collier de perles : Ezra Furman assume son look androgyne sans complexe. Plein d'humour et de sincérité, son rock a secoué les festivaliers en cette fin d'après-midi dominicale.
(Olivier Flandin / FTV)
Lias Kaci Saoudi, charismatique chanteur de la Fat White family samedi soir sur la Scène du Bosquet. Dans un style vestimentaire un brin plus chic que lors de son dernier passage à Rock en Scène en 2014.
(Olivier Flandin / FTV)
A l’image de son élégante chanteuse Ellie Rowsell, les britannique de Wolf Alice ont assuré un show équilibré entre finesse et énergie, donnant à leur registre pop des élans rock bien adaptés aux grandes scène des festivals.
(Olivier Flandin / FTV)
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