Cet article date de plus d'onze ans.
Madonna confie avoir été violée dans sa jeunesse
Madonna se raconte dans le prochain numéro de Harper's Bazaar dont elle ornera la couverture de novembre. Elle y révèle notamment avoir été violée sous la menace d'un couteau lors de ses premières années à New York, alors qu'elle n'était pas encore la reine américaine de la pop.
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Braquée avec un pistolet
Dans un article-confession écrit pour le magazine américain Harper's Bazaar, la "Material Girl" explique qu'à son arrivée à New York, après sa
jeunesse dans le Michigan, la ville ne l'a pas accueillie "à bras ouverts".
"La première année, on m'a braquée avec un pistolet. J'ai été violée sur le toit d'un immeuble, où on m'avait poussée avec un couteau dans le dos, et mon appartement a été cambriolé trois fois. Je ne sais pas pourquoi, je n'avais plus rien de valeur après qu'on m'a volé ma radio la première fois", écrit-elle.
Une drôle de rapport à la religion
Elle se souvient ensuite de ses premières années de pop star et de ses relations avec la religion, la provocation et l'ordre établi.
A 25 ans, "je portais autant de crucifix que possible autour du cou et disais au gens, dans les interviews, que je faisais cela parce que je trouvais Jésus sexy. Bon... il était sexy, mais je le disais aussi pour provoquer", reconnaît-elle.
On se souvient en particulier du clip de "La Isla Bonita" dans lequel elle priait avec un rosaire en 1987, et surtout deux ans plus tard de celui de "Like a Prayer" (ci-dessous) dans lequel elle évoluait dans un décor de croix brûlantes et priait dans une église devant une statue de saint noir qu'elle rêvait visiblement de dévoyer...
"J'ai une drôle de relation avec la religion. Je crois beaucoup aux rituels, tant qu'ils ne font de mal à personne. Mais je ne suis pas une grande adepte des règles. Pour autant, on ne peut pas vivre dans un monde sans ordre", dit-elle. "Provoquer, c'est dans mon ADN"
"Mais pour moi, il y a une différence entre les règles et l'ordre, les règles que les gens suivent sans poser de question. L'ordre, c'est ce qu'il advient quand les mots et les actions rassemblent les gens au lieu de les séparer. Oui, j'aime provoquer, c'est dans mon ADN. Mais neuf fois sur dix, je ne le fais pas sans raison", jse ustifie-t-elle.
Elle aussi évoque ses maris, son installation à Londres puis son retour à New York, et ses quatre enfants, à qui elle apprend à "prendre des risques et à choisir de faire les choses parce que c'est bien pour eux et pas parce que c'est ce que tout le monde fait". "Prendre des risques, pour moi, c'est la norme", assure-t-elle.
Voir la séance photo de Madonna pour Harper's Bazaar
Dans un article-confession écrit pour le magazine américain Harper's Bazaar, la "Material Girl" explique qu'à son arrivée à New York, après sa
jeunesse dans le Michigan, la ville ne l'a pas accueillie "à bras ouverts".
"La première année, on m'a braquée avec un pistolet. J'ai été violée sur le toit d'un immeuble, où on m'avait poussée avec un couteau dans le dos, et mon appartement a été cambriolé trois fois. Je ne sais pas pourquoi, je n'avais plus rien de valeur après qu'on m'a volé ma radio la première fois", écrit-elle.
Une drôle de rapport à la religion
Elle se souvient ensuite de ses premières années de pop star et de ses relations avec la religion, la provocation et l'ordre établi.
A 25 ans, "je portais autant de crucifix que possible autour du cou et disais au gens, dans les interviews, que je faisais cela parce que je trouvais Jésus sexy. Bon... il était sexy, mais je le disais aussi pour provoquer", reconnaît-elle.
On se souvient en particulier du clip de "La Isla Bonita" dans lequel elle priait avec un rosaire en 1987, et surtout deux ans plus tard de celui de "Like a Prayer" (ci-dessous) dans lequel elle évoluait dans un décor de croix brûlantes et priait dans une église devant une statue de saint noir qu'elle rêvait visiblement de dévoyer...
"J'ai une drôle de relation avec la religion. Je crois beaucoup aux rituels, tant qu'ils ne font de mal à personne. Mais je ne suis pas une grande adepte des règles. Pour autant, on ne peut pas vivre dans un monde sans ordre", dit-elle. "Provoquer, c'est dans mon ADN"
"Mais pour moi, il y a une différence entre les règles et l'ordre, les règles que les gens suivent sans poser de question. L'ordre, c'est ce qu'il advient quand les mots et les actions rassemblent les gens au lieu de les séparer. Oui, j'aime provoquer, c'est dans mon ADN. Mais neuf fois sur dix, je ne le fais pas sans raison", jse ustifie-t-elle.
Elle aussi évoque ses maris, son installation à Londres puis son retour à New York, et ses quatre enfants, à qui elle apprend à "prendre des risques et à choisir de faire les choses parce que c'est bien pour eux et pas parce que c'est ce que tout le monde fait". "Prendre des risques, pour moi, c'est la norme", assure-t-elle.
Voir la séance photo de Madonna pour Harper's Bazaar
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