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Les tubes de l'été : en 2013, Daft Punk fait danser le monde avec "Get Lucky"

Été 2013. Le duo casqué Daft Punk fait bouger la planète avec son tube dansant "Get Lucky". Accompagnés du compositeur Nile Rodgers et du chanteur américain Pharrell Williams les rois de l'électro français ont cassé la baraque.
Article rédigé par franceinfo - O. Morain / L. Hakim
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1 min
Le duo français Daft Punk sort son tube planétaire "Get Lucky" en 2013 accompagné de Pharell Williamas et Nile Rodgers 
 (France 2 / Culturebox)

Dès sa sortie en 2013, "Get lucky" s'est hissé au rang de numéro 1 des hits-parades dans plus de 50 pays. Pour cette chanson tube, les Daft Punk se sont entourés d'un petit prince de la funk, Pharrell Williams, et d'un roi de la disco, Nile Rodgers. Phénomène mondial garanti.

Reportage France 2 : L. Hakim / A. Ducruet / J-M. Lequerter / H; Pozzo / G. Michel 


La planète "Get Lucky"

En quelques mois, deux stars sans visage transforment la planète en discothèque. De la Garde Républicaine qui joue le tube lors du défilé du 14 juillet 2017 aux choeurs de l'Armée Rouge de Moscou en passant par le présentateur de télé américain Stephen Colbert qui parodie la chanson dans une vidéo, "Get Lucky" transforme la planète en discothèque. 

7 millions d'exemplaires vendus et deux Grammy Awards

En 2013, les Daft Punk s'associent au roi de la funk Nile Rodgers, dont les riffs de guitare chatouillent les pieds depuis les années 70. Une chanson événement à la promotion savamment orchestrée par les Daft Punk. Pendant plusieurs semaines, ils entretiennent le mystère par de petites séquences très scénarisées. Et quand le disque sort, c'est l'avalanche de récompenses : le titre-phare est couronné chanson de l'année, avec en prime le trophée d'album de l'année à Los Angeles aux Grammy Awards. "Get lucky", "prends ton pied", en langage familier. Assurément, les Daft Punk ont suivi les recommandations de leur propre chanson avec 7 millions d'exemplaires vendus. 

La boite à tubes en toute discrétion 

Les deux humanoïdes français de la musique n'ont pas toujours été anonymes. Si aujourd'hui ils circulent à visage couvert et donnent leurs concerts sous un casque, on peut retrouver leurs traces à Montmartre, là où tout a commencé au milieu des années 90. Là où Thomas Bangalter et Guy-Manuel de Homem-Christo ont bidouillé leur premier album dans leur chambre d'adolescent. À l'époque, les deux jeunes garçons parlent sans casque et constatent simplement qu'il est facile de fabriquer un tube électro avec peu de moyen. Ils choisissent le nom de Daft Punk à cause d'un journal anglais, qui les traite de punks idiots, "daft punky". Ils se griment puis se déguisent pour se protéger de la célébrité, puis ils disparaissent totalement derrière leurs casques de robots...

 

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