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Des "gueules noires" licenciées pour un "Harlem Shake" au fond de la mine
Des "gueules noires" ont perdu leur emploi pour avoir exécuté au fond d'une mine d'or australienne un "Harlem Shake" publié sur le net, a rapporté lundi un journal local. Le "Harlem Shake", ce phénomène qui créé le buzz sur internet, avait déjà donné lieu à des incidents en Tunisie et en Egypte la semaine dernière.
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Une quinzaine de mineurs travaillant pour Barminco dans la mine d'or Agnew, en Australie occidentale, ont été licenciés et déclarés persona non grata pour tous les projets de la société dans le monde, selon The West Australian.
Un des hommes a expliqué au journal qu'ils voulaient "s'amuser un peu" mais Barminco a estimé qu'ils avaient enfreint "les valeurs élémentaires de sécurité, d'intégrité et d'excellence". La vidéo publiée sur YouTube montre pourtant les mineurs équipés de casques de sécurité. Barminco n'a pas souhaité répondre aux sollicitations de l'AFP.
Subversif, "Harlem Shake"?
La chanson électro-dance "Harlem Shake" a déclenché un phénomène viral sur internet, plusieurs dizaines de milliers d'internautes ayant publié des vidéos plutôt potaches sur Youtube où à chaque fois, des gens déguisés dansent de façon frénétique.
La semaine dernière, à la suite d'un Harlem Shake organisé à Tunis par des lycéens, le gouvernement avait demandé une enquête. Des islamistes avaient ensuite attaqué les étudiants organisant ce "Harlem Shake" à Tunis. En Egypte, un "Harlem Shake" avait aussi agacé les autorités : au Caire, des étudiants ont été arrêté par la police alors qu'ils étaient en train de danser en sous-vêtements et coiffés de perruques, accusés d'avoir commis "un acte scandaleux".
Subversif, "Harlem Shake"?
La chanson électro-dance "Harlem Shake" a déclenché un phénomène viral sur internet, plusieurs dizaines de milliers d'internautes ayant publié des vidéos plutôt potaches sur Youtube où à chaque fois, des gens déguisés dansent de façon frénétique.
La semaine dernière, à la suite d'un Harlem Shake organisé à Tunis par des lycéens, le gouvernement avait demandé une enquête. Des islamistes avaient ensuite attaqué les étudiants organisant ce "Harlem Shake" à Tunis. En Egypte, un "Harlem Shake" avait aussi agacé les autorités : au Caire, des étudiants ont été arrêté par la police alors qu'ils étaient en train de danser en sous-vêtements et coiffés de perruques, accusés d'avoir commis "un acte scandaleux".
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