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"Les Parisiennes", de nouvelles chanteuses pour les tubes du girls band des sixties

Quatre artistes de renom reprennent sur la scène des Folies Bergère le répertoire du plus célèbre girls band français des années 60 : "Les Parisiennes". Se glissant dans ses chansons insouciantes, elles reprennent le nom du groupe original. Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra font revivre ce quatuor gentiment sexy en respectant les interprétations originales.
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
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 , Inna Modja ,  Helena Noguerra Mareva Galanter et Arielle Dombasle, les nouvelles "Parisiennes"
 (France 3 Culturebox capture d'écran)

Elles sont quatre, comme dans le groupe original. Mareva Galanter, Arielle Dombasle, Inna Modja et Helena Noguerra ont à leur tour adopté le répertoire des quatre Parisiennes d'origine, Raymonde Bronstein, Anne-Marie Royer, Helen Longuet et Anne Lefébure (qui a été ensuite, et entre autres, speakerine et la voix de FR3, l'ancêtre de France 3). Leurs chansons étaient gaies, enlevées, très dans l'air du temps. Le jazzman Claude Bolling avait eu l'idée de former ce quatuor de charme alors que le chorégraphe Roland Petit signait la mise en scène de leurs chansons. Très rapidement, les quatre jeunes françaises sexy, très "parisiennes", avaient aligné les succès : "Il fait trop beau pour travailler", "L'Argent ne fait pas le bonheur" mais aussi le suave générique du Pop Club de France Inter  "...avec José Artur..." à l'antenne jusqu'en 2005, soit 35 ans après la séparation du groupe !

Reportage : France 3 Paris Île-de-France J. Serra / M. Tafnil / D. Tanchereau / I. Audin / S. Fouquet / Y. Zysman / J. Antignac


Les Parisiennes 2018 sont nées d'un rêve de Laurent Ruquier qui était fan du groupe original. Un premier single de la nouvelle formation, "Ah, c'qu'on est bête", a été publié en février 2018, il sera prochainement suivi d'un album entier. Ces nouvelles Parisiennes marquent l'heureux revival d'un groupe yéyé au coefficient sympathie intact, l'impression (fausse évidemment) que ce temps-là était plus léger que ceux que nous vivons.

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