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Michel Sardou, dernière tournée pour le chanteur "réac" et populaire
Michel Sardou est pour la dernière fois à l'affiche d'une tournée dans toute la France. A 70 ans, l'artiste qui a traîné tout au long de sa carrière une réputation de "chanteur réac" refuse de faire la tournée de trop. Il reprend tous ses tubes et interprète les chansons de son album sorti cette semaine "Le choix du fou". Titre de la tournée "La dernière danse".

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Michel Sardou arrête la chanson. "La dernière danse" est sa dernière tournée. Mais Michel Sardou n'arrête pas le spectacle. Le chanteur qui a débuté en 1970 avec "Les Ricains", "J'habite en France" et "Les bals populaires" a décidé de se consacrer entièrement au théâtre. Sardou est en tournée en France alors que sort son vingt-sixième album "Le choix du fou". Le vingt-sixième et dernier.
Les concerts de cette tournée sont, bien sûr, composés de ses grands succès "La maladie d'amour", "Je vole", "Le rire du sergent", "Les lacs du Connemara" ou "La java de Broadway". Ses opinions à rebrousse-poil du courant général ont valu à Michel Sardou d'occuper la place assez peu courue de "Chanteur réac". Un franc-parler qui lui a cependant valu de s'attacher un public fidèle. Dans l'interview accordée lors de son passage à Saint-Etienne, l'auteur de "Je suis pour" et de la chanson "Le temps des colonies" tente d'expliquer qu'il ne mérite pas cette réputation. L'écoute des chansons ne permet pourtant pas d'en douter.
Reportage : E. Cornet / F. Bazille / L. Harper / A. d'Abrigeon
Les concerts de cette tournée sont, bien sûr, composés de ses grands succès "La maladie d'amour", "Je vole", "Le rire du sergent", "Les lacs du Connemara" ou "La java de Broadway". Ses opinions à rebrousse-poil du courant général ont valu à Michel Sardou d'occuper la place assez peu courue de "Chanteur réac". Un franc-parler qui lui a cependant valu de s'attacher un public fidèle. Dans l'interview accordée lors de son passage à Saint-Etienne, l'auteur de "Je suis pour" et de la chanson "Le temps des colonies" tente d'expliquer qu'il ne mérite pas cette réputation. L'écoute des chansons ne permet pourtant pas d'en douter.
Reportage : E. Cornet / F. Bazille / L. Harper / A. d'Abrigeon
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