Cet article date de plus d'onze ans.
Thomas, 19 ans, auteur de "50 cents", nouveau talent du salon du livre jeunesse
Jeune écrivain de 19 ans, Thomas Carreras a présenté son tout premier livre au Salon du livre jeunesse de Montreuil. Un policier au style cru, trempé, imprégné de références anglo-saxonnes édité par Sarbacane. Les premières lignes de "50 cents" ont été écrites en classe de 1ère.
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Mis à jour
Temps de lecture : 1min
N. Bappel, P. Lassus, S. Fouquet, D.Robert
L'histoire débute dans un commissariat de San Francisco, dans une salle d"interrogatoire. L'intrigue se déroule aux Etats-unis, son autre pays, celui de ses fantasmes d'auteur.
Derrière chaque phrase, une image, une scène, car ce livre est aussi un film par son style. Thomas Carreras avoue volontiers son admiration pour Tarentino, et évoque un voyage aux Etats-Unis en famille lorsqu'il était adolescent. Un périple en camping qui l'a marqué ! Un tout... que l'on retrouve dans une utilisation immodérée de "fuck" converti en "putain" dans le livre.
Extrait de "50 cents"
Lisez plutôt cet extrait , il nous met tout de suite dans le bain !
"Alors voilà le putain de deal, parce que j'ai vraiment pas envie de rigoler : chaque fois que je te pose une putain de question, tu me réponds la putain de vérité. Si tu me ponds un putain de mensonge, je t'enfoncerai cette putain de table si loin dans ton putain de cul de merdeux qu'elle te ressortira par tes putains de narines ! J'ai été suffisamment clair ?"
"50 cents" de Thomas Carreras aux éditions Sarbacane, collection Exprim'
15,20 euros
Derrière chaque phrase, une image, une scène, car ce livre est aussi un film par son style. Thomas Carreras avoue volontiers son admiration pour Tarentino, et évoque un voyage aux Etats-Unis en famille lorsqu'il était adolescent. Un périple en camping qui l'a marqué ! Un tout... que l'on retrouve dans une utilisation immodérée de "fuck" converti en "putain" dans le livre.
Extrait de "50 cents"
Lisez plutôt cet extrait , il nous met tout de suite dans le bain !
"Alors voilà le putain de deal, parce que j'ai vraiment pas envie de rigoler : chaque fois que je te pose une putain de question, tu me réponds la putain de vérité. Si tu me ponds un putain de mensonge, je t'enfoncerai cette putain de table si loin dans ton putain de cul de merdeux qu'elle te ressortira par tes putains de narines ! J'ai été suffisamment clair ?"
"50 cents" de Thomas Carreras aux éditions Sarbacane, collection Exprim'
15,20 euros
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