Cet article date de plus de douze ans.

"Au bout du monde, l'Australie" : plein les yeux !

L'Australie, c'est d'abord une lumière. Qui enrobe les paysages, sauvages ou ubanisés, et les rend uniques. Stanislas Fautré n'est pas le premier photographe à être tombé sous le charme, mais sa vision de l'île-continent mérite le détour.
Article rédigé par franceinfo - Pierre-Yves Grenu
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1min
Le parc national de Mount Field en Tasmanie
 (Stanislas Fautré - extrait de "Au bout du Monde, l'Australie" (Glénat))

La nature australienne est farouche, et contraint l'homme à la plus grande humilité. Lors de son premier voyage, il y a dix ans, Stanislas Fautré était en VTT. Un périple d'un an et un objectif déraisonnable, la traversée du désert de Gibson, et ses 1 200 kilomètres de pistes rouges, étouffantes et sablonneuses. De cette traversée et des suivantes, le photographe a ramené des milliers de clichés.

Rien ne manque : les panoramas à couper le souffle ; la faune, et ces rencontres que beaucoup préféreront faire sur papier glacé (serpents-tigres, crocodiles de mer, varans, diables cornus et autres lézards à collerette) ; mais aussi les villes, parmi les plus belles du monde ; et les hommes, bien sûr. Stanislas Fautré ouvre logiquement son livre par une rencontre avec les premiers occupants, les aborigènes des Territoires du Nord, avant de promener son objectif dans l'Australie "old England" du bowling sur herbe et des villas de Paddington.

Ce livre, qui sent bon le soleil et l'eucalyptus, est une excellente initiation. Deuxième étape ? Commencer à économiser pour s'offrir le billet...

"Au bout du monde, l'Australie" de Stanislas Fautré (Glénat) - 192 pages - 39,00 euros 

 

 

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