Fêtes et boîtes de nuit : des solutions pour lutter contre les piqûres sauvages
Mardi 21 juin, la Fête de la Musique a donné lieu à de nombreuses piqûres sauvages et plusieurs personnes ont été placées en garde à vue. C’est un phénomène qui prend de l’ampleur que l’émission Envoyé Spécial du jeudi 23 juin va traiter. Extrait dans cette édition du 12/13.
C’est une pratique redoutée et un phénomène mystérieux : les piqûres sauvages. Depuis quelques mois, de nombreux clients de boîtes de nuit ou des spectateurs assistant à un concert ont été victimes de piqûres sauvages. Les vigiles font attention, mais ne peuvent pas forcément tout voir. "Si quelqu’un veut rentrer avec une piqûre, il peut la cacher n’importe où. On vérifie au maximum pour limiter le risque, mais le risque zéro n’existe pas", explique l’un des vigiles.
Des gérants de boîtes de nuits vigilants
Pour limiter les risques, plusieurs établissements ont équipés leurs différentes salles de caméras de surveillance pour pouvoir surveiller les moindres recoins. C’est un investissement important qui apporte cependant une grande sécurité ainsi que la possibilité de visionner le moment d’une éventuelle agression. Il sera même possible de visionner les images pendant un mois. C’est une solution pour compenser la division de moitié de la clientèle depuis le début du phénomène.
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