Salma Hayek : "Sans mon côté sexy, Hollywood ne m’aurait jamais engagée"
Depuis ses débuts à Hollywood dans "Desperado" avec Antonio Banderas en 1995, cette image de sex-symbol lui colle à la peau. Mais Salma Hayek le reconnaît si elle a eu du mal à assumer son côté sexy au début, c’est bien son physique qui lui a ouvert les portes des grands studios américains et lancé sa carrière internationale. Il faudra attendre 2002 pour faire oublier un peu cette image avec « Frida » une biographie de la peintre mexicaine Frida Kahlo qu’elle produit et où elle tient le premier rôle. Sa performance lui vaudra d’ailleurs une nomination aux Oscars en 2003.
Une femme engagée
Son modèle Mère Theresa qu’elle avait rencontré quand elle était adolescente. En avril 2015, l'actrice se rend au Liban pour la première fois et visite pour soutenir l’UNICEF un camp de réfugiés syriens. Elle a fondé avec l’aide de la chanteuse Beyonce le mouvement "Chime for Change", ("Sonnez l'alarme pour changer"), une ONG qui œuvre pour l'éducation et la santé des femmes à travers le monde. Et Salma Hayek confie qu’elle a toujours fait cela, bien avant d’être une star, mais qu’évidemment sa notoriété facilite les choses quand il s’agit de lever des fonds.
La France est l’un des meilleurs pays au Monde
Mariée à l’homme d’affaires François-Henri Pinault, Salam Hayek partage sa vie entre Londres et Paris depuis plusieurs années. Et elle connaît bien la France et ses travers mais avoue ne pas comprendre les Français qui passent leur temps à se plaindre alors qu’ils vivent dans un pays aux multiples facilités, et l’actrice de souligner la qualité du système de santé, de l’éducation, ou encore la culture. A méditer…
"Tales of tales" de Matteo Garrone (Gomorra, Reality) sort mercredi 1er juillet en France. Salma Hayek y partage l’affiche avec Vincent Cassel.
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