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Nous avons retrouvé Anita Ekberg : l'icône lance un SOS

L'actrice suédoise Anita Ekberg, icône de "La Dolce Vita" qui a fêté en septembre ses 80 ans, est désargentée au point d'avoir dû demander une aide financière à la fondation Federico Fellini qui l'avait révélée dans son célèbre film de 1960. Nous l'avons retrouvée dans une maison de retraite, digne, oubliée de tous.
Article rédigé par franceinfo - Sophie Jouve
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1min
Anita Ekberg dans la Dolce Vita (1960)
 (Kobal/The Picture Desk)

 

Avant et après de se retrouver sous la gouverne de Fellini, qui en fit un mythe, Anita Akberg avait déja joué sous la direction des plus grands metteurs en scène. Tels que Robert Aldrich dans "Quatre du Texas" (1963), avec Frank Sinatra et Dean Martin ; André de Toth dans "Les Mongols" (1961) auprès de Jack Palance ; King Vidor dans "Guerre et paix" (1956) ; Frank Tashlin dans "Artistes et modèles" (1955).

Elle tourna deux films avec Jerry Lewis : "Tiens bon la rampe Jerry" (1966), "Un vrai cinglé de cinéma" (1956), mais aussi John Wayne qu'elle croise dans "L'Allée sanglante" (1955), ou Bob Hope et Fernandel, dans "A Paris tous les deux" (1958).

Sa carrière est comme suspendue dans les années 70 et 80, où elle ne joue que dans deux films de Fellini. Ses dernières apparitions à l'écran datent de 1997, dans deux films passés totalement inaperçus : "Le Nain rouge" et "Bambola".

 

Extrait de la "Dolce Vita" de Fellini

 

 

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