Festival du Cinéma Américain de Deauville en toute indépendance
Hommage particulier à Basquiat ou à la jeunesse américaine. A Deauville, le cinéma américain est loin de ressembler aux comédies à l'eau de rose qui font le plein dans les salles obscures. Car il y a aussi un cinéma indépendant dynamique. Cette année, les films présentés prouvent une nouvelle fois l'incroyable vitalité de la nouvelle génération. Le réalisateur Gregg Araki en est un digne représentant. Deauville a choisi de rendre hommage à cet excentrique du Septième Art avec une projection de l'intégralité de ses films. Des films dans lesquels ni Ken, ni Barbie n'ont de place. Gregg Araki fait tout simplement le portrait de jeunes entre sexe et drogue. Son dernier long-métrage Kaboom pourrait devenir le film culte d'une jeunesse à la recherche de sens et de son identité.
A voir aussi sur Culturebox :
- Terry Gilliam à l'honneur du 36ème Festival du Cinéma Américain de Deauville
- Jean Michel Basquiat à la Fondation Beyeler, à Bâle (mai 2010)
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