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4 ans après "Un prophète", Tahar Rahim revient à Cannes avec deux films

Révélé à Cannes en 2009 avec "Un prophète" de par Jacques Audiard, Tahar Rahim s'est depuis fait un nom. 4 ans après, il revient sur la Croisette avec deux films, "Le Passé" de l'Iranien Azghar Fahradi en compétition officielle, et "Grand central" de Rebecca Zlotowski sélectionné dans la catégorie 'Un certain regard".
Article rédigé par franceinfo
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Léa Seydoux, Tahar Rahim et la réalisatrice de "Grand central" Rebecca Zlotowski
 (MUSTAFA YALCIN / ANADOLU AGENCY)

Il le dit lui-même, professionnellement il est né ici sur la croisette. En 2009 le grand public découvrait Tahar Rahim, jeune acteur inconnu chosit par Jacques Audiard pour incarner Malik dans "Un prophète" aux côtés de Niels Arestrup. Un rôle de détenu qui évolue du statut de proie à celui de prédateur.

Suivra une pluie de récompenses pour le film mais aussi pour le comédien qui décrochera pas moins de 7 prix dont deux César, meilleur espoir et meilleur acteur. Du jamais vu dans l'histoire des César.

Reportage : N.Hayter, N.Berthier, P.Gueny

Tahar Rahim a depuis beaucoup tourné notamment devant les caméras du Chinois Lou Ye, de l'Ecossais Kevin Macdonald ou encore de Jean-Jacques Annaud, et il revient donc sur le tapis rouge cannois non pas avec un mais deux films. "Le Passé" de l'Iranien Azghar Fahradi en compétition officielle où il joue au côté de Bérénice Béjo et de la jeune comedienne belge Pauline Burlet; et "Grand central" le dernier film de Rebecca Zlotowski sélectionné dans la catégorie 'Un certain regard", où il donne la réplique à Léa Seydoux.

Tahar Rahim que l'on retrouvera dans un troisième film en 2013, Gibraltar du réalisateur français Julien Leclerq.

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