Yayoi Kusama, née ne 1929, développe depuis plus de 60 ans une oeuvre marquée par sa fragilité psychologique et quelques obsessions. De ses premières peintures des années 1950 à ses accumulations de formes phalliques ou ses installations pleines de pois, le Centre Pompidou présente jusqu'au 9 janvier une rétrospective de cette artiste japonaise singulière, qui vit dans un asile psychiatrique.
Yayoi Kusama, The Moment of Regeneration, 2004
(Centre Pompidou, P. Migeat, Paris, 2011 )Yayoi Kusama, No. 19 H.S.W
(MoMA, New York / Scala, Florence)Yayoi Kusama, Série Infinity Nets au Centre Pompidou
(Centre Pompidou, P. Migeat, Paris, 2011)Yayoi Kusama, Infinity Nets, Yellow, 1960
(National Gallery of Art, Washington)Yayoi Kusama, I'm Here, but Nothing, 2000-2011, collection de l'artiste
(Centre Pompidou, P. Migeat, Paris, 2011)Yayoi Kusama, "Accumulations", années 1960
(Centre Pompidou, P. Migeat, Paris, 2011)Yayoi Kusama à l’intérieur de l’installation "Infinity Mirror Room – Phalli’s Field", « Floor Show », Castellane Gallery, New York, 1965
(Ph. Courtesy Yayoi Kusama Studio, Tokyo)Yayoi Kusama, Dots Obsession, Infinity Mirrored Room, 1998
(Centre Pompidou, P. Migeat, Paris, 2011)Yayoi Kusama, Love Arrives àt the Earth Carrying With a Tale of the Cosmos, 2009
(Collection de l'artiste, Photo Norihiro Ueno)
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