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Le "Beach art" de J.ben entre dans l'Histoire avec son hommage à Charlie Hebdo
Son poing dressé tenant un stylo en hommage aux victimes de Charlie Hebdo a fait le tour de toutes les télévisions. Jehan-Benjamin Tarain alias J.ben est un artiste singulier. Adepte du Beach art ou l'art de dessiner sur la plage, il crée des oeuvres éphémères dont il diffuse les images sur internet.
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Reportage : O.Riou / P.Mesner / P.Mauduit
Cela restera l'une des images fortes des hommages rendus aux victimes de Charlie Hebdo à travers la France dimanche 11 janvier. Ce poing brandissant un crayon est l'oeuvre de J.ben, un graffeur royannais. Une performance qui a attiré des centaines de curieux qui se sont massés en silence autour du dessin. Une démarche spontanée qui a touché l'artiste, adepte du Beach art.
Plus qu'un art, un moyen d'expression pour engager le dialogue
Webdesigner dans le civil, Jehan-Benjamin Tarain dit "J.ben" a pratiqué à l'adolescence la sculpture sur sable. C'est ainsi tout naturellement qu'il passe au beach art. Avec un rateau pour pinceau et la plage comme toile, il crée des oeuvres monumentales uniquement visibles depuis le ciel. Des fresques éphémères qu'il rend éternelles en les filmant grâce à un drône.
Ces images, il les partage ensuite sur son site internet. Car pour lui, le beach art n'est pas uniquement un moyen de se recentrer comme on le ferait dans un jardin zen, c'est aussi et surtout le moyen de rencontrer des gens. D'engager la conversation. Un dialogue qui aurait sans doute bien plu aux journalistes de Charlie Hebdo.
Plus qu'un art, un moyen d'expression pour engager le dialogue
Webdesigner dans le civil, Jehan-Benjamin Tarain dit "J.ben" a pratiqué à l'adolescence la sculpture sur sable. C'est ainsi tout naturellement qu'il passe au beach art. Avec un rateau pour pinceau et la plage comme toile, il crée des oeuvres monumentales uniquement visibles depuis le ciel. Des fresques éphémères qu'il rend éternelles en les filmant grâce à un drône.
Ces images, il les partage ensuite sur son site internet. Car pour lui, le beach art n'est pas uniquement un moyen de se recentrer comme on le ferait dans un jardin zen, c'est aussi et surtout le moyen de rencontrer des gens. D'engager la conversation. Un dialogue qui aurait sans doute bien plu aux journalistes de Charlie Hebdo.
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