Cet article date de plus de huit ans.
A Sète, le festival ImageSingulières cultive son originalité et sa simplicité
Loin des festivals où des stars inaccessibles paradent face à un public tenu à distance, ImageSingulières cultive sa différence. A l’image de Sète, la ville qui l’a vu naître il y huit ans, ce rendez-vous de passionnés de la photographie documentaire privilégie l’Humain. Un côté authentique qui fait aujourd’hui sa notoriété. A découvrir jusqu’au 22 mai.
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Reportage : C.Agullo/E.Garibaldi/S.Plessis
Il y a une quinzaine d’années, Gilles Favier découvre Sète à l’occasion d’un reportage. Le coup de foudre est immédiat. Sans fard ni snobisme, la cité languedocienne rivalise de beauté avec ses voisines méditerranéennes, l’authenticité en plus. Le festival qu’il y a créé en 2009 est à l’image de cette simplicité : ici pas de chichis, le public peut se retrouver autour d’un verre avec les photographes aux Chais des Moulins. Une ambiance décontractée bien loin des événements people ultra médiatisés de la Côte.
Une simplicité qui n’empêche pas une programmation pointue et pleine de sens. Regards croisés sur la classe ouvrière au Boulodrome, , l’après Tchernobyl vu par le photoreporter Guillaume Herbaut au Centre Régional d’Art Contemporain ou les aspects les plus sombres de la Cité des Mirages, Las Vegas avec Christian Lutz…
Un tour du monde en photos qui nous entrainera cette année encore au Chili. En 2015, ImageSingulières s’est associé au Festival International de la Photographie de Valparaiso. Un échange culturel qui a conduit quatre jeunes photographes chiliens à venir s’installer pour quelques semaines en résidence à Sète. Le résultat c’est un livre Sète#16 et une exposition à la Chapelle du Quartier Haut .
Il y a une quinzaine d’années, Gilles Favier découvre Sète à l’occasion d’un reportage. Le coup de foudre est immédiat. Sans fard ni snobisme, la cité languedocienne rivalise de beauté avec ses voisines méditerranéennes, l’authenticité en plus. Le festival qu’il y a créé en 2009 est à l’image de cette simplicité : ici pas de chichis, le public peut se retrouver autour d’un verre avec les photographes aux Chais des Moulins. Une ambiance décontractée bien loin des événements people ultra médiatisés de la Côte.
Une simplicité qui n’empêche pas une programmation pointue et pleine de sens. Regards croisés sur la classe ouvrière au Boulodrome, , l’après Tchernobyl vu par le photoreporter Guillaume Herbaut au Centre Régional d’Art Contemporain ou les aspects les plus sombres de la Cité des Mirages, Las Vegas avec Christian Lutz…
Un tour du monde en photos qui nous entrainera cette année encore au Chili. En 2015, ImageSingulières s’est associé au Festival International de la Photographie de Valparaiso. Un échange culturel qui a conduit quatre jeunes photographes chiliens à venir s’installer pour quelques semaines en résidence à Sète. Le résultat c’est un livre Sète#16 et une exposition à la Chapelle du Quartier Haut .
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