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Les cinq dernières années d’Alberto Giacometti en cinquante œuvres à Nice

C’est l’évènement culturel de l’été à Nice. La toute nouvelle galerie Lympia accueille l’exposition "Giacometti – L’œuvre ultime". Une rétrospective en une cinquantaine d’œuvres produites durant les cinq dernières années de sa vie. A découvrir jusqu’au 15 octobre

franceinfo

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Publié le 26/06/2017 16:59 Mis à jour le 26/06/2017 18:50

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Jusqu'au 15 octobre 2017, la nouvelle galerie Lympia de Nice accueille l'expostion "Giacometti - L'ultime œuvre". Une rétrospective de ses cinq dernières années de création en cinquante œuvres
(Culturebox / Capture d'écran) — Jusqu'au 15 octobre 2017, la nouvelle galerie Lympia de Nice accueille l'expostion "Giacometti - L'ultime œuvre". Une rétrospective de ses cinq dernières années de création en cinquante œuvres (Culturebox / Capture d'écran)

Alberto Giacometti (1901-1966) est à l’honneur cet été, avec une grande rétrospective à la Tate Modern de Londres où sont rassemblées 250 œuvres du maître suisse. Et puis, plus intimiste, sur le port de Nice, dans les espaces rénovés de l’ancien bagne et du Pavillon de l’Horloge qui forment la nouvelle Galerie Lympia, cette exposition retraçant les cinq dernières années de création de Giacometti, de 1960 à 1965.

Reportage : O. Chartier-Delègue / B. Loth

Période prolifique

L’exposition niçoise réunit plusieurs chefs-d’œuvre de cette époque dont une peinture majeure de la série des « Caroline » de 1960, un des derniers bustes de Lotar (Lotar III, 1965-1966), le plâtre peint de l’Homme à mi-corps (1965), la Grande femme III (1960) et la reconstitution, avec les œuvres originales, de l’assemblage des sculptures figurant dans une photographie de Lotar prise dans l’atelier de Giacometti.

Les sculptures, peintures, dessins, et lithographies, issus de la riche collection de la Fondation Giacometti, permettent de montrer toute la diversité des techniques employées par l’artiste dans cette période très prolifique. Des œuvres émouvantes selon Catherine Grenier, la directrice de la fondation, car l’artiste cherchait alors à renouveler son style.