Vidéo Nouvelle saison de Secret Story : "On a là des candidats qui se vantent de ce qu'ils ne respecteront rien moralement : qu'en penserait Gabriel Attal ?", s'amuse le sémiologue François Jost

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Le sociologue et théoricien de l’image François Jost s'interroge sur l'immoralité des candidats de la nouvelle saison de Secret Story, alors que le Premier ministre Gabriel Attal "vient dans les collèges pour expliquer qu'il faut respecter les règles."
Secret Story : "Qu'en penserait Attal ?" Le sociologue et théoricien de l’image François Jost s'interroge sur l'immoralité des candidats de la nouvelle saison de Secret Story, alors que le Premier ministre Gabriel Attal "vient dans les collèges pour expliquer qu'il faut respecter les règles." (CYRIL BALTA / RADIO FRANCE)
Article rédigé par Ludovic Pauchant
Radio France
Alors que la nouvelle saison de l'émission de téléréalité Secret Story est de retour sur les écrans, le sémiologue François Jost souligne le fossé qui existe entre la promesse du programme, basé sur le mensonge des candidats, et la ligne morale défendue par le Premier ministre.

"On a là des candidats qui se vantent qu'ils ne respecteront rien moralement : qu'en penserait Gabriel Attal ?" Le sociologue et théoricien de l’image François Jost s'interroge dans le Talk de franceinfo sur Twitch sur l'immoralité des candidats de la nouvelle saison de Secret Story, alors que le Premier ministre Gabriel Attal "vient dans les collèges pour expliquer qu'il faut respecter les règles".

"Tous les candidats qui sont venus s'exprimer expliquent qu'ils iront jusqu'au bout, qu'ils n'auront pitié de personne, qu'ils mentiront à qui mieux mieux, qui s'ils peuvent tricher, ils tricheront !"

François Jost, sémiologue

à franceinfo

"On a aujourd'hui le Premier ministre, Gabriel Attal, poursuit le sémiologue, qui vient dans les collèges pour expliquer qu'il faut respecter les règles, que l'on est dans une société où tout le monde doit répondre aux mêmes règles. Et là, on a tout d'un coup des jeunes qui viennent se vanter du fait qu'ils ne respecteront absolument rien moralement. Et je me demandais ce qu'en penserait Gabriel Attal..."

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