Cet article date de plus de six ans.

Chalon dans la rue : des flammes de Doedel au cimetière du Teatro del silencio

Chalon dans la rue se poursuit avec ses spectacles en plein air. La compagnie "Doedel", venue des Pays-Bas, a enflammé le festival avec son spectacle "La dernière symphonie". Même succès pour la troupe du "Teatro del silencio" qui a présenté "Cap au cimetière".
Article rédigé par Véronique Dalmaz
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
"Cap au cimetière" la dernière création de la troupe du Teatro del silencio  
 (Capture d'image France 3/Culturebox)

160 compagnies, près d’un millier de représentations… le festival Chalon dans la rue a transformé la ville en un immense théâtre à ciel ouvert. Depuis ce mercredi 18 juillet, les spectacles se succèdent avec, ce week-end, quelques belles surprises.  

Un spectacle "mortel"

Reportage : M. Barate / A. Douay / F. Nivot / E. Vial
C’est l’une des plus anciennes compagnies de théâtre de rue. Connue dans le monde entier, la troupe chilienne du "Teatro del silencio" a littéralement subjugué le public du festival avec sa dernière création "Cap au cimetière". Un spectacle hanté par la mort avec comme personnage central l’auteur irlandais Samuel Beckett porte-parole de l’absurdité de l’existence. La troupe a déambulé dans les rues avec, à ses côtés, une quarantaine de chalonnais amateurs et bénévoles.

Tout feu, tout flamme

Autre spectacle présenté ce week-end à Chalon dans la rue, "La dernière symphonie" de la compagnie néerlandaise "Doedel". Un univers apocalyptique dans un décor mi industriel, mi artistique. Un pianiste installé sur une structure métallique monumentale débute son concert entouré de flammes. Des flammes qui tout à coup prennent le pouvoir. Des personnages, entre clown et démons, tentent d’éteindre le feu mais enchaînent les gaffes. Une ambiance surchauffée qui a enflammé le public.  

Reportage : F. Borius / C. Rabeau / F. Nivot / R. Nectoux
Dernière représentation, ce dimanche 22 juillet à 22h00 devant l’Abattoir.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.