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Jazz à Vienne: du monde et de très beaux moments malgré la pluie
Pour jazz à Vienne 2014, c'est l'heure du bilan. De Paolo Conte à Gregory Porter en passant par Jamie Cullum et Quincy Jones ou Thomas Dutronc, cette 34ème édition a été riche en grands et beaux moments. Le public a répondu présent malgré la pluie .
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16 soirées au théâtre antique, des dizaines de concerts gratuits dans toute la ville.
L'édition 2014 de Jazz à Vienne n'a pas failli à sa réputation, celle d'un festival qui, par une programmation éclectique et très fine sait attirer un large public, près de 175 000 spectateurs au total.
Et pourtant cette année, il y avait quelques vents contraires susceptibles d'amener des turbulences.
Le festival a débuté au moment fort de la mobilisation des intermittents.
Mais Stéphane Kochoyan, directeur du festival, et son équipe leur ont permis de s'exprimer, de faire de la scène du théâtre antique une tribune ponctuelle.
De ce fait le festival n'a pas subi d'aussi grosses perturbations que d'autres. Malgré tout, des concerts en ville ont été annulés Les vents contraires ont amené la pluie dès le 28 juin pour l'ouverture avec Paolo Conte. Seules 5 soirées ont été épargnées. De mémoire de festivalier, c'est une première.
Mais la qualité était au rendez-vous et, du concert avec les jeunes autour de Greg Zlap et son harmonica à Quincy Jones qui transmet sa science à la jeune génération en passant par l'émotion Paolo Fresu, celle de Youn Sun Nah, le pep's de Jamie Cullum, la légende Robert Plant, les grands et beaux souvenirs ne manquent pas.
Stéphane Kochoyan et son équipe ont les yeux tournés vers 2015. Des contacts sont pris pour fêter comme il se doit les 35 ans d'un festival plus que jamais installé parmi les grands en Europe.
L'édition 2014 de Jazz à Vienne n'a pas failli à sa réputation, celle d'un festival qui, par une programmation éclectique et très fine sait attirer un large public, près de 175 000 spectateurs au total.
Et pourtant cette année, il y avait quelques vents contraires susceptibles d'amener des turbulences.
Le festival a débuté au moment fort de la mobilisation des intermittents.
Mais Stéphane Kochoyan, directeur du festival, et son équipe leur ont permis de s'exprimer, de faire de la scène du théâtre antique une tribune ponctuelle.
De ce fait le festival n'a pas subi d'aussi grosses perturbations que d'autres. Malgré tout, des concerts en ville ont été annulés Les vents contraires ont amené la pluie dès le 28 juin pour l'ouverture avec Paolo Conte. Seules 5 soirées ont été épargnées. De mémoire de festivalier, c'est une première.
Mais la qualité était au rendez-vous et, du concert avec les jeunes autour de Greg Zlap et son harmonica à Quincy Jones qui transmet sa science à la jeune génération en passant par l'émotion Paolo Fresu, celle de Youn Sun Nah, le pep's de Jamie Cullum, la légende Robert Plant, les grands et beaux souvenirs ne manquent pas.
Stéphane Kochoyan et son équipe ont les yeux tournés vers 2015. Des contacts sont pris pour fêter comme il se doit les 35 ans d'un festival plus que jamais installé parmi les grands en Europe.
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