Festival Lumière: Jean-Michel Jarre raconte Maurice Jarre
Bon sang ne saurait mentir. L'expression populaire prend tout son sens lorsque l'on parle des Jarre père et fils.
D'un côté le compositeur de musiques de films entrées dans la légende du cinéma avec des films comme "Lawrence d'Arabie" (1962), "Le Docteur Jivago" (1965), "Paris brûle-t-il ?" (1966), "Les Damnés" (1969), "Soleil rouge" (1971), "Jésus de Nazareth" (1977), "Shogun" (1980), "Witness" (1985), "Gorilles dans la brume" (1988), "Le Cercle des poètes disparus" (1989) ou "Ghost" (1990). Une trajectoire couronnée de 3 Oscars.
De l'autre, un fils qui s'est construit dans la musique électronique une réputation planétaire depuis "Oxygène", qui a vendu 80 millions d'albums et qui a produit des shows gigantesques de Pékin à Houston, d'Hong Kong à Lyon pour la venue de Jean-Paul II. Quand le fils parle du père:
Reportage: Julien Sauvadon, Paul Satis, Frédéric Gramond
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