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Sur les pas de George Onslow, le "Beethoven français", à Clermont-Ferrand

C’est un compositeur auvergnat qui était à l’honneur le 22 août au Festival de La Chaise-Dieu. Tombé dans l’oubli, George Onslow a connu la gloire au 19ème siècle. Surnommé « Le Beethoven français », il est revenu sur le devant de la scène grâce au Quatuor Prima Vista. L’un de ses musiciens nous emmène sur les traces de ce compositeur qui excella dans la musique de chambre pour cordes.
Article rédigé par Chrystel Chabert
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
Tombé dans l'oubli,  Georges Onslow est pourtant présent au hasard des rues de Clermont-Ferrand, sa ville natale
 (France 3 Culturebox)
Reportage : Gérard Rivollier et Elodie Monnier
 70 partitions, 36 quatuors et 34 quintettes. C’est l’héritage musical laissé par George Onslow mais c’est un héritage qui est longtemps resté délaissé. Il a fallu attendre les années 70 pour que le musicologue français Carl de Nys le redécouvre. Depuis, plusieurs quatuors ont joué ses partitions mais c’est le Quatuor Prima Vista, créé en 1997 par Baudime Jam, qui est à ce jour celui qui a le plus défendu et interprété les partitions du « Beethoven français ». Baudime Jam a d’ailleurs signé une biographie d’Onslow parue aux Editions du Mélophile (2003 – 564 pages).

Au Festival de la Chaise-Dieu le 22 août, c'est l'Ensemble Diotima qui a interprété l'Opus 56 de G. Onslow, dont voici un extrait :

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