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Bars en Trans : 80 artistes à découvrir dans les bars rennais
Du 4 au 6 décembre 2014, Rennes est la capitale de toutes les musiques actuelles. En marge de la 36e édition des Trans Musicales, les Bars en Trans accueillent plus de 80 artistes en concert tous les soirs. Découvrez la programmation et notre petite sélection.
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Pendant quatre jours, toutes la ville de Rennes vibre au son du rock, de la pop, de l'électro ou du rap grâce au festival des Trans Musicales et les Bars en Trans.
A partir du 4 décembre 2014, 80 artistes "découvertes" français et étrangers vont investir une quinzaine de bars du centre ville pour des concerts à prix réduits (environ 5 euros). Cette année place à la nouvelle scène musicale belge comme les Fùgù MANGO et beaucoup d'autres surprises comme la Française Camp Claude.
Bruno Vanthournout et Philippe le Breton, les programmateurs du festival nous dévoilent quelques nouveaux talents.
Reportage : R. Bendayan / C. Deunf Pas facile de faire son choix parmi les 80 groupes invités en trois jours. Rock, pop, électro, rap, chanson française, tous les styles de musiques actuelles sont reprèsentés. Voici une petite sélection en son et en images
Dans 13 bars de la ville de Rennes : 1988 Live Club, l’Artiste Assoiffé, Backstage, Bar’Hic, Bistro de la Cité, le Chantier, Dejazey, La Dernière Séance, Kenland, Mondo Bizarro, la Place, la Trinquette & le Ty Anna.
Tarif variable (entre 0 et 10 euros par salle)
A partir du 4 décembre 2014, 80 artistes "découvertes" français et étrangers vont investir une quinzaine de bars du centre ville pour des concerts à prix réduits (environ 5 euros). Cette année place à la nouvelle scène musicale belge comme les Fùgù MANGO et beaucoup d'autres surprises comme la Française Camp Claude.
Bruno Vanthournout et Philippe le Breton, les programmateurs du festival nous dévoilent quelques nouveaux talents.
Reportage : R. Bendayan / C. Deunf Pas facile de faire son choix parmi les 80 groupes invités en trois jours. Rock, pop, électro, rap, chanson française, tous les styles de musiques actuelles sont reprèsentés. Voici une petite sélection en son et en images
- Formés à l'an 2000, les "Kid Francescoli", portés par leur leader Mathieu Hocine, offrent une pop à part et un univers onirique haut en couleurs. Ancrés à Marseille, Mathieu et ses 3 compères forment un quatuor atypique mêlant pop anglaise et lyrisme de la canzone italienne.
- De retour avec un nouvel album, "H-Burns" démontre une fois de plus qu’on peut changer sans cesse, sans jamais se renier. Plus calme, plus pop, plus léché, plus californien, mais toujours aussi inquiet et mélancolique, Night Moves a été produit par le trop rare Rob Schnapf (producteur des grands disques de Beck, Elliott Smith et Guided by voices).
- L’auvergnat Adam Wood transgresse la folk au bénéfice de boogies tendus et électriques. Les mélodies sont propulsées dans des ciels orageux où s’ébrouent habituellement Neil Young ou Midlake.
- Des guitares 70’s et une voix de velours tournoient dans les esprits avec ses guitares sixties noyées de reverb et ses refrains imparables, "Agua Roja" risque bien de devenir la sensation du printemps 2015 tant on a le sentiment d’être né avec les mélodies évidentes et ciselées de ce groupe Parisien.
- Duo electro-dub fondé à Avignon, "Ashkabad" a tous les arguments pour vous faire bouger, satisfaisant à la fois les puristes et les amateurs de métissages ! Entre roots et modernité, le duo trace sa route sur fond d’engagement.
- Elégante et planante, la douce pop de "Bel Plaine" fait gentiment planer vers de doux horizons.
- Ils sont peu nombreux en France les rappeurs qui savent s’adresser à nos cortex sans tomber dans le piège du « rap conscient ». Beny est de ceux-là. Instrus chics et travaillées, textes pointus et attitude arty; retenez-bien son nom. Vous allez en entendre parler.
- Au concert de "C*NT" on voit des « corbeaux » twerker sur les breaks de 808 et des « breakeurs » se balancer d’un pied sur l’autre sur des nappes de synthé analogique aux résonances eighties.
- On entend les textes de Bashung, la voix de Dominique A et un rock doux, bien ficelé fier mais pas agressif. Pas besoin de violence pour s’imposer. "Radio Elvis" la joue tout en douceur, en intelligence.
Dans 13 bars de la ville de Rennes : 1988 Live Club, l’Artiste Assoiffé, Backstage, Bar’Hic, Bistro de la Cité, le Chantier, Dejazey, La Dernière Séance, Kenland, Mondo Bizarro, la Place, la Trinquette & le Ty Anna.
Tarif variable (entre 0 et 10 euros par salle)
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