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À Rennes, Bars en Trans s'est fait une place au côté des Trans Musicales

A Rennes, depuis plus de 20 ans, en parallèle des Trans Musicales se déroule un autre festival dans toute la ville : Bars en Trans, festival de découvertes, en partie gratuit, bel aperçu des tendances actuelles et à venir, mais aussi un événement qui tient à son engagement.

Article rédigé par Yann Bertrand
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Le groupe Camp Claude au 1988 Live Club, lors de l'édition 2018 du festival Bars en Trans, à Rennes. (THOMAS BREGARDIS / MAXPPP)

À Rennes depuis mercredi 4 décembre, on vibre forcément au rythme des Trans Musicales, 41e édition, marquées notamment par le retour d'Etienne Daho chez lui, là où tout a commencé. Mais en ville, d'autres noms, depuis 25 ans, se sont découvert un public : Miossec, Roméo Elvis, Lomepal, Last Train, Bigflo & Oli, Jeanne Added, Christine & the Queens, La Femme, Jeanne Cherhal… Ils sont tous passés par Bars en Trans.

Cette année, la découverte peut s’appeler Léo Fifty Five, Aurore de St Baudel, Glauque, We Hate You Please Die ou, pourquoi pas, Sally. La programmation est jeune, large, très française mais pas que.

Le premier critère, c'est le coup de coeur, mais il faut toujours être attentif à la tendance.

Philippe Le Breton, programmateur de Bars en Trans

Il y en a plus de 130, jeunes Français ou d’ailleurs, à écouter un peu partout en ville jusqu'à dimanche. Bars en Trans est un festival qui croit en la rencontre entre un artiste et un public à l’écoute, un événement militant, aussi, qui accole à sa billetterie des dons pour Utopia 56, une association d’aide aux personnes exilées. Son programmateur le répète : "Bars en Trans n'est pas un truc de business, et Rennes a toujours porté une parole."

Les découvertes d’ici et d’ailleurs : en un quart de siècle d'existence, Bars en Trans est devenu bien plus qu’un festival parallèle.

Bars en Trans, l'engagement et la découverte

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