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Vidéo Entretien avec Juliane Lepoureau et Camille Cottin autour du film “Toni, en famille”

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Ce mercredi 6 septembre sort le nouveau film de Nathan Ambrosioni “Toni, en famille”. À cette occasion, Brut a rencontré Camille Cottin et Juliane Lepoureau.
VIDEO. Entretien avec Juliane Lepoureau et Camille Cottin autour du film “Toni, en famille” Ce mercredi 6 septembre sort le nouveau film de Nathan Ambrosioni “Toni, en famille”. À cette occasion, Brut a rencontré Camille Cottin et Juliane Lepoureau. (Brut.)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions
Ce mercredi 6 septembre sort le nouveau film de Nathan Ambrosioni “Toni, en famille”. À cette occasion, Brut a rencontré Camille Cottin et Juliane Lepoureau.

Camille Cottin joue une mère célibataire, Juliane Lepoureau, l’un de ses cinq enfants qu’elle élève seule. Pour son second long métrage, Tony, en famille, le réalisateur français de 24 ans, Nathan Ambrosioni, met en scène une mère célibataire qui se questionne sur son avenir, alors que ses deux aînés partent du foyer familal pour leurs études. Juliane Lepoureau explique avoir été ravie de collaborer avec l'actrice pour ce film : J'étais trop contente, franchement, parce que tu es une actrice que j'aime beaucoup, déjà, à la base. J'avais vu plusieurs des projets que tu avais faits. Et j'étais vraiment trop contente.” et en profite pour la remercie : “Je tiens à te dire merci du fond du cœur, parce que je le pense. Et merci d'avoir été là pour nous, de nous avoir soutenus, encouragés, même pour tout ce qu'on faisait. Tellement de bienveillance aussi de ta part. Merci beaucoup”. 

“J’ai été très touchée par la solitude de cette femme”

Pour son personnage, Camille Cottin explique s’être beaucoup aidé de son vécu personnel et de son expérience au sein de sa propre fratrie : J'ai une grande fratrie, recomposée, mais j'ai quatre frères et sœurs et j'ai 24 ans d'écart avec ma dernière sœur, donc presque plus que l’écart entre Toni et sa grande fille. Donc... Et comme je suis l'aînée de cette fratrie, j'ai pu aller chercher un peu dans ce vécu-là (...) Donc j'ai un peu observé, j'ai des amies qui élèvent toutes seules leurs enfants, donc je me suis un peu inspirée de tout ça, et puis de mon expérience de maternité aussi, de mère. J'ai été très touchée par la solitude de cette femme aussi. Elle épaule beaucoup, mais elle n'est pas très épaulée. Et c'est normal, c'est comme ça. Mais je trouve ça touchant de raconter ça. Et puis, j'ai repensé à ma maman.”

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