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Vidéo “Acide” : Guillaume Canet et Just Philippot reviennent sur le making-of de la scène principale

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Just Philippot présente son nouveau film, “Acide”. Avec Guillaume Canet, le réalisateur revient sur les coulisses de tournage de l’une des scènes principales du film.
VIDEO. “Acide” : Guillaume Canet et Just Philippot reviennent sur le making-of de la scène principale Just Philippot présente son nouveau film, “Acide”. Avec Guillaume Canet, le réalisateur revient sur les coulisses de tournage de l’une des scènes principales du film. (Brut.)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions
Just Philippot présente son nouveau film, “Acide”. Avec Guillaume Canet, le réalisateur revient sur les coulisses de tournage de l’une des scènes principales du film.

Mercredi 20 septembre est sorti Acide, de Just Philippot, un projet à grand spectacle qui entend marcher sur les traces de productions américaines. Après une introduction très inattendue, où Guillaume Canet incarne un "gilet jaune", le film retrouve les rails plus tracés d'un film post-apocalyptique, où la famille ne peut compter que sur elle-même pour survivre face à des pluies acides mortelles et incontrôlables qui rongent les bâtiments et les corps.

"On a chorégraphié en très, très peu de temps une séquence qui était assez compliquée. J'ai eu la chance d'avoir une caméra embarquée dans une voiture pilotée par Guillaume”, décrit le réalisateur. Il explique comment il a retranscrit en images la tension de la scène principale du film. "Tout l'enjeu de cette séquence, ça a été d'imaginer un temps long. Moi, j'ai fait le pari d'une séquence qui dure” afin de traduire "une menace qui ne s’arrête pas”, explique Just Philippot.

L’équipe chargée des effets spéciaux a aussi veillé à travailler les séquences dans les moindres détails, comme ces gros plans sur le sol et les feuilles qui semblent subir une corrosion. La musique, composée par ROB (Robin Coudert), a également été un élément central du film. "J’ai dit à ROB : 'Je veux des instruments malades, des instruments qui ont fait la guerre. Je veux des instruments qui souffrent, donc je veux une musique qui ne soit jamais tenue, qui bouge. Je veux un orchestre qui joue faux. Il me faut de la matière. Je veux créer un environnement musical qui n'est pas très serein.' Et il a trouvé cette espèce de violoncelle comme ça, de "hum...hum...", de raclement, de vague. On a tenté vraiment d'épouser les formes d'une menace qui arriverait lentement mais sûrement”, retrace le réalisateur.

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