Cet article date de plus de huit ans.
"Visa pour l’image" : le Brésil des sans-abri photographié par Peter Bauza
On est loin des fastes des JO de Rio. Les clichés de Peter Bauza exposés à "Visa pour l’image", à Perpignan, jusqu’au 11 septembre 2016, témoignent de la pauvreté de ce pays. Le photographe allemand a tourné son objectif vers les sans-abri de Jambalaya.
Publié
Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Reportage : J. Escafre / F. Jobard / A. Vaillant
Jambalay est un complexe immobilier, situé à une soixantaine de kilomètres de Rio, occupé par des sans-abri. 300 familles y vivent dans des conditions insalubres. Au Brésil, on l’appelle le Copacabana Palace, un clin d’œil ironique à l’hôtel de luxe de Rio.
"Ce sont 6 blocs, explique Peter Bauza dans le reportage de France 3, construits il y a 30 ans. Avec les crises économiques et politiques, ils n’ont jamais été terminés." Un squat géant sans eau ni électricité où les maladies se développent. Peter Bauza s’est complètement immergé dans cet univers. "J’ai eu l’opportunité de dormir dans un appartement, raconte le photographe. Je sais ce que ca veut dire. On ne nait pas squatteur, c’est la société, c'est les États, qui sont responsables."
Jambalay est un complexe immobilier, situé à une soixantaine de kilomètres de Rio, occupé par des sans-abri. 300 familles y vivent dans des conditions insalubres. Au Brésil, on l’appelle le Copacabana Palace, un clin d’œil ironique à l’hôtel de luxe de Rio.
"Ce sont 6 blocs, explique Peter Bauza dans le reportage de France 3, construits il y a 30 ans. Avec les crises économiques et politiques, ils n’ont jamais été terminés." Un squat géant sans eau ni électricité où les maladies se développent. Peter Bauza s’est complètement immergé dans cet univers. "J’ai eu l’opportunité de dormir dans un appartement, raconte le photographe. Je sais ce que ca veut dire. On ne nait pas squatteur, c’est la société, c'est les États, qui sont responsables."
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.