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Les belles gueules de Dunkerque réunies dans le livre "Quand vient le carnaval"

Il revient chaque année, et fait vibrer le coeur des gens du Nord, le carnaval de Dunkerque est un grand moment d'amitié qui célèbre les marins-pêcheurs. Bals et mouvements de foules, défilé de perruques et boas, des visages outrageusement maquillés immortalisés par le photographe Pierre Volot. L'ouvrage collectif "Quand vient le carnaval" raconte en image ces moments complices.
Article rédigé par Odile Morain
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Pierre Volot et les carnavaleux de Dunkerque
 (France 3 / Culturebox )

Il laisse traîner son appareil photo au cœur de la fête pour immortaliser les visages du carnaval de Dunkerque, Pierre Volot est passionné de sa ville et de photo. Ses clichés sont réunis dans le livre collectif "Le temps du carnaval".

Reportage : F. Bellouti / L. Haffaf / A. Da Fonseca


Un moment unique de fête

Jet de harengs, cri de la mouette, perruques colorées et ambiance de franche rigolade, chaque année le carnaval de Dunkerque est attendu avec impatience par les masquelours.Un régal de portraits hauts en couleurs que le photographe Pierre Volot capte dans son objectif. "Pendant le carnaval, les gens sont heureux et prennent plaisir à être pris en photo, c'est génial pour un photographe", assure-t-il.  

"Effrayant et beau"

Co-signé avec Marie Genel, le livre fait résonner l'ambiance joyeuse des chahuts, du partage et de la fête. Le temps d'une photo, le rythme effréné de la foule se trouve figé dans un bain dilué de couleurs. Comme ce cliché du fameux lancer de harengs. "Ce mouvement de foule est à la fois beau et effrayant", confie Pierre Volot.

Voyage au coeur du carnaval 

De Bandes en chapelles, les deux photographes ont passé deux mois auprès des carnavaleux de chaque quartier. "J'ai toujours rêvé de faire un livre sur carnaval et le projet m'a emballé", dit encore le photographe. 82 photos qui font vivre cet événement dont la tradition remonte au XVIIe siècle. 


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