: Vidéos Découvrez l'histoire du grand magasin Le Bon Marché et de ses fondateurs Aristide et Marguerite Boucicaut
Voici cinq vidéos à regarder chez soi en attendant de pouvoir se rendre à nouveau au Bon Marché une fois levé le confinement.
Fondé en 1852 par Aristide et Marguerite Boucicaut, le Bon Marché Rive Gauche est le premier grand magasin du monde toujours en activité. Voici son histoire en cinq vidéos.
Un extraordinaire destin
Le couple Boucicaut n’a cessé d’innover dans tous les domaines, cherchant inlassablement à devancer les attentes de la clientèle de la fin du XIXe siècle. Qui étaient ces deux fondateurs à l’esprit visionnaire ? D’où venaient-ils ? Réponse dans ce premier épisode où Stéphane Bern présente Aristide et Marguerite Boucicaut.
L'avènement du grand magasin
Dans ce deuxième épisode consacré à l’histoire du Bon Marché Rive Gauche, Stéphane Bern nous rappelle dans quel contexte historique de la seconde moitié du XIXe siècle Aristide Boucicaut fonde le Bon Marché.
La cathédrale du commerce moderne
Dans ce troisième épisode, Aristide et Marguerite Boucicaut voient grand. Encouragés par le contexte favorable de la seconde révolution industrielle et les innovations présentées lors de la première Exposition Universelle française en 1855, ils investissent sans relâche pour acquérir les terrains jouxtant le magasin Au Bon Marché.
Les désirs d'une nouvelle clientèle
Aristide et Marguerite Boucicaut ont pressenti les bouleversements en cours dans la société de la fin du XIXe siècle. Au Bon Marché devient rapidement une destination de choix des femmes de la bourgeoisie naissante. Le grand magasin devient le lieu de nouvelles libertés, de sociabilités différentes, d’un temps à soi. Le couple Boucicaut mettra tout en œuvre pour continuer à séduire cette clientèle fidèle.
Les demoiselles de magasin
Les agrandissements successifs du magasin vont de pair avec une intensification de l’activité. Pour achalander les rayons et servir la clientèle nombreuse, Aristide et Marguerite Boucicaut embauchent toujours plus de personnel. Les bonnes mœurs de la fin du XIXe siècle trouvent cependant qu’hommes et femmes se côtoient trop étroitement de part et d’autre des comptoirs... Le couple Boucicaut imagine alors faire travailler des femmes au poste de "demoiselle de magasin"
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