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"Monsieur Dior. Il était une fois", un homme discret et déterminé

Article rédigé par Corinne Jeammet
France Télévisions - Rédaction Culture
Publié Mis à jour
"Monsieur Dior. Il était une fois" de Natasha Fraser-Cavassoni (Pointed Leaf Press) retrace les 1res années d'une maison qui continue à faire vivre l'héritage de son fondateur plus de 65 ans après sa disparition. A travers anecdotes, témoignages et photos d'archives, ce livre brosse un portrait intime du couturier-parfumeur: homme discret, délicat, déterminé, fasciné par la féminité et l'art.


Christian Dior photographié par le jeune Antony Amstrong-Jones, qui épousera la Princesse Margaret et deviendra Lord Snowdon.
 (LORD SNOWDON / CAMERA PRESS / GAMMA)
Christian Dior reconnait immédiatement le génie et le talent d'Yves-Mathieu Saint-Laurent. Il adopte une attitude paternelle et protectrice à l'égard de son dauphin, toujours à vif
 (OSTIER ANDRÉ/RBO/CAMERA PRESS)
Dès sa première collection pour la maison Dior, qu'il présente en juillet 2012, Raf Simons réinterprète la fameuse veste Bar. Ici déclinée en smokings.
 (PATRICK DEMARCHELIER)
La muse de Dior, Mitzah Bricard -parée de ses précieux bijoux et coiffée d'un turban- fait étalage du motif léopard qu'elle a introduit dans l'univers de la mode Dior.
 (COURTESY OF THE CECIL BEATON STUDIO ARCHIVE AT SOTHEBY’S)
Leslie Caron observe Christian Dior qui fait d'ultimes ajustements sur le costume de Nelly Guillerm. Le couturier a réalisé les costumes pour le ballet de Roland Petit, Les treize danses.
 (ROGER-VIOLLET)
Marlène Dietrich surprise lors d'un défilé Dior en 1951
 (2014 ASSOCIATION WILLY MAYWALD / ARTISTS RIGHTS SOCIETY (ARS), NEW YORK/ADAGP, PARIS)
Un portrait mélancolique du couturier Christian Dior par son ami Cécil Beaton, chez lui Boulevard Jules-Sandeau à Paris. La décoration témoigne de son goût indéfectible pour le style Napoléon III.
 (COURTESY OF THE CECIL BEATON STUDIO ARCHIVE AT SOTHEBY’S)
Christian Dior pose avec son équipe. Il est assis entre Marguerite Carré et Mitzah Bricard, Jacques Rouët, Raymonde Zehnacker, Suzanne Luling et Yvonne Minassian. Au troisième rang : Madame Béguin, Madame Gervais et Madame Monique. 4e rang : Madame Lancien et Carmen Colle.
 (DR)
En 1955, la boutique colifichets a cédé la place à la grande boutique Dior à l'angle de l'avenue Montaigne et de la rue François 1er à Paris. Victor Grandpierre, le décorateur préféré du couturier, l'a conçue dans un style néo Louis XVI.
 (Collection privée)
Couverture du livre "Monsieur Dior. Il était une fois" de Natasha Fraser-Cavassoni. Éditeur : Pointed Leaf Press.
 (Dior)

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