Vidéo Cédric Sapin-Defour parle de son livre “Son odeur après la pluie”

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Dans son livre, “Son odeur après la pluie”, qui s’est écoulé à 200 000 exemplaires, Cédric Sapin-Defour parle de la relation qu’il partage avec son chien Ubac et de manière plus globale, de ce que la nature nous enseigne.
VIDEO. Cédric Sapin-Defour parle de son livre “Son odeur après la pluie” Dans son livre, “Son odeur après la pluie”, qui s’est écoulé à 200 000 exemplaires, Cédric Sapin-Defour parle de la relation qu’il partage avec son chien Ubac et de manière plus globale, de ce que la nature nous enseigne. (Brut.)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions
Dans son livre, “Son odeur après la pluie”, qui s’est écoulé à 200 000 exemplaires, Cédric Sapin-Defour parle de la relation qu’il partage avec son chien Ubac et de manière plus globale, de ce que la nature nous enseigne.

“C'est véritablement une histoire d'amour”. Dans Son odeur après la pluie, l’écrivain Cédric Sapin-Defour rend hommage à son chien Ubac, aujourd’hui décédé. Pour lui, un animal “réapprend” à l’homme “à percevoir le monde avec une palette beaucoup plus large”. “Il y a des siècles et des siècles, (les hommes savaient) parler au vent, aux arbres, aux fougères, (on) savait entendre, (on) savait sentir... On sait encore beaucoup voir, mais le reste, on l'a un peu perdu. (...) On parle de génération hyper connectée, on est en tous la génération qui est en train de perdre la connexion la plus flatteuse, la plus vitale et la plus nécessaire, la plus essentielle à mes yeux : la proximité à la nature” explique Cédric Sapin-Defour.

“Je souhaiterais que nous considérions la nature comme un alter ego”

Dans l’ouvrage, l’écrivain revient sur un épisode durant lequel son chien Ubac a ressenti les prémices de l’arrivée d’un séisme. Un éveil des sens perçu par certains comme de la “magie”. Pour Cédric Sapin-Defour, cela n’a rien à voir avec de la magie, mais avec la connexion que les animaux continuent à entretenir avec la nature. Ubac était tellement en nature, à la nature, dans la nature. (…) Peut-être que ces récepteurs-là à ce qu’il va advenir, peut-être que nous les avions et que nous les avons un peu laissés de côté. (…) Je souhaiterais que nous (les hommes), nous considérions la nature comme un alter ego et que nous nous considérions comme faisant partie de la nature” conclut l’écrivain. 

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