Coupe de l'America : Team New Zealand poursuit son sans-faute face à Ineos Britannia, mais le manque de vent perturbe la deuxième journée

Le vent trop faible, inférieur à la limite de 6,5 nœuds, a contraint, dimanche, les organisateurs à reporter le deuxième match du jour entre les deux défis.
Article rédigé par franceinfo: sport avec AFP
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1min
Trois matchs et trois victoires pour le défi Team New Zealand dans la Coupe de l'América aux dépens d'Ineos Britannia, le 13 octobre 2024 à Barcelone (Espagne). (RICARDO PINTO / AFP)

Team New Zealand a marqué un nouveau point crucial face à Ineos Britannia, dimanche 13 octobre, lors du match pour la 37e Coupe de l'America à Barcelone, se rapprochant à grande vitesse d'un troisième titre consécutif. Après deux succès engrangés samedi, les Kiwis mènent désormais trois points à zéro face aux Britanniques, vainqueurs la semaine dernière de la Coupe Louis Vuitton, et ils n'ont plus que quatre manches à gagner pour soulever le plus vieux trophée sportif du monde.

Lors du pré-départ de la première régate de la journée, les hommes de Ben Ainslie ont reçu une pénalité après avoir été poussés à la faute par la Nouvelle-Zélande, qui bénéficiait de justesse de la priorité lors d'un croisement. "Ce n'est pas passé loin, je pensais que c'était bon, mais les arbitres avaient un avis différent", a commenté Ben Ainslie, le barreur britannique. "Nos bateaux étaient si proches que j'ai eu un peu peur", a estimé de son côté le skipper kiwi Peter Burling. Partant avec quelques secondes de retard sur l'AC75 néo-zélandais, Ineos n'a jamais réussi à combler l'écart.  A l'arrivée, Team New Zealand a affiché 52 secondes d'avance sur leur adversaire, confirmant une fois de plus sa suprématie lorsque le vent est faible.

Par manque de vent, la deuxième régate a été reportée à lundi. Les Néo-Zélandais sont parfaitement lancés pour un incroyable triplé : le premier depuis les Etats-Unis en 1987, 1988 et 1992.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.