VIDÉO - Crise de nerfs, grosses colères et marathons : le Top 10 de la 2e journée
1. Saleté de terre battue !
Quand Alizé Cornet perd ses nerfs, elle ne fait pas semblant. La numéro un française a déjà perdu le premier set. Dans le deuxième, elle craque. S’emporte. Contre qui ? Contre elle-même ? Non. Contre cette partie du court "pourrie", qui l’a tant contrarié jusqu’ici. Cela ne l’empêchera pas de s’imposer en trois sets (4-6, 6-4, 6-1), face à l’Italienne Roberta Vinci.
2. Et une première raquette explosée, une...
Autre Français en colère ce lundi : Benoit Paire. On vous l’accorde, il n’est pas réputé pour être d’un calme olympien. Demandez au Portugais Gastao Elias…
3. La cuillère pour conclure
Virginie Razzano n’était pas totalement dans son assiette face à Veronica Cepede Royg. Surtout dans le premier set. Dans les deux autres, la Française a relevé la tête. Pour conclure sur un service… à la cuillère (2-6, 6-4, 6-2).
4. Le langage de la colère
De son côté, Gaël Monfils a une façon bien à lui de s’énerver. Quand il s’agace, il le fait en créole.
5. A en perdre la tête
Encore un échange marathon. Cette fois, c’est Adrian Mannarino et Jurgen Melzer qui régalent le Court n°1. Pas moins de vingt-deux coups ! De quoi donner le tournis au public parisien.
6. Ebloui par le public
Début de match entre Lucas Pouille et Gilles Simon. Le Niçois est au service. Quand son adversaire et compatriote en prend plein les yeux. Un peu trop à son goût…
7. Oh, la belle patte gauche
Si Benoit Paire est un tennisman de caractère, il est aussi un footballeur adroit. Surtout du pied gauche. Démonstration en tout début de quatrième set, face à Gastao Elias (7-5, 3-6, 6-4, 1-0).
8. Aux quatre coins du court
Quand Andy Murray et Facundo Arguello jouent à cache-cache sur le Chatrier, ça donne l’un des plus beaux points de ce début de tournoi…
9. Encore une pauvre raquette
Oui, mille fois oui, les nerfs français étaient à vif ce lundi. Après Cornet, après Paire, Adrian Mannarino a perdu son sang froid. Et sa raquette. La terre battue du Court n°1 s’en souvient.
10. En mode rafale
Il y avait du vent sur le Lenglen. Beaucoup de vent. Un panneau publicitaire n’y a pas résisté. Et ça a beaucoup amusé Gaël Monfils.
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