Roland-Garros : les journalistes étrangers veulent un toit !
Avec la pluie qui tombe sans discontinuer sur Paris, le tournoi a subi de nombreux coups durs. Cela écorne même son image. Les journalistes étrangers plaident pour un toit sur le court central.
Il pleut sans discontinuer sur Paris et le tournoi de tennis de Roland-Garros en pâtit. Son image est écornée et la question du toit et des éclairages, pour permettre aux matchs de se jouer plus tard, est de nouveau posée. Roland-Garros doit rattraper son retard par rapport aux standards existant sur les autres tournois du Grand Chelem à Londres, New-York ou Melbourne.
Au moins 4 ans d'attente
France 3 a posé la question aux journalistes étrangers et aux consultants. Ils sont tous unanimes, Roland-Garros doit se moderniser pour garder son aura. Retransmis dans plus de 200 pays, sauf quand il pleut... Et sur le site, c'est 30 000 spectateurs qui se retrouvent dépités. En régie, 1 300 journalistes, 2 000 techniciens doivent combler le vide comme ce journaliste japonais qui s'en plaint. Mats Wilander, triple vainqueur à Roland Garros et consultant pour Eurosport pense avant tout aux fans. Mais, il faudra attendre au moins 4 ans pour avoir un toit sur le court central. D'ici là, il reste toujours le parapluie.
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