Cet article date de plus de huit ans.

Djokovic croit en ses chances pour Roland-Garros

Le N.1 mondial Novak Djokovic croit qu'il peut remporter cette année Roland-Garros, le seul tournoi du Grand Chelem qui manque à son palmarès, a-t-il confié dimanche après sa victoire dans le Masters 1000 d'Indian Wells (Etats-Unis).
Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1 min
Djokovic croit en ses chances pour Roland-Garros. (ROBYN BECK / AFP)

Le tournoi français de "Roland-Garros est cette année encore l'une de mes priorités, j'ai l'impression que je suis de plus en plus proche de m'y imposer", a souligné le Serbe, battu en finale de l'édition 2014 par l'Espagnol Rafael Nadal et de l'édition 2015 par le Suisse Stan Wawrinka. "Je ne vais pas changer grand-chose à ma préparation. Mon calendrier va être le même (qu'en 2015), sauf que je prévois toujours de jouer à Madrid, où je n'ai pas joué en 2014 et 2015.

L'idée est de jouer beaucoup de matches pour être prêt sur cette surface. Il faut avoir disputé deux gros tournois avant", a-t-il expliqué. "J'ai grandi en jouant sur la terre battue, j'adore jouer sur cette surface, je me suis rapproché de la victoire à Roland Garros plusieurs fois, il ne me manque pas grand chose, je continue d'y croire, peut-être que cette année sera la bonne", a-t-il relevé. Djokovic a remporté dimanche le Masters 1000 d'Indian Wells pour la cinquième fois de sa carrière, la troisième fois de suite, face au Canadien Milos Raonic (6-2, 6-0).

Par ailleurs, le Serbe s'est dit favorable à la création d'une nouvelle catégorie de tournois, entre ceux du Grand Chelem et les Masters 1000, voulue notamment par les organisateurs d'Indian Wells. "J'ai beaucoup de respect pour l'histoire du tennis et pour les tournois du Grand Chelem, mais il ne faut pas que cela empêche les autres tournois de grandir, comme Indian Wells et Shanghaï (Chine). C'est pour le bien de notre sport et des joueurs, tout évolue dans la vie, le tennis doit évoluer aussi", a-t-il conclu.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.