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Tournoi des Six Nations féminin : "Une formule particulière", estime Gaëlle Hermet, la capitaine des Bleues

Alors que le Tournoi des Six Nations féminin débute ce samedi 3 avril, la capitaine des Bleues Gaëlle Hermet a fait part de son impatience d'affronter le pays de Galles. Inédite, cette édition 2021 se déroulera sous forme de deux poules de trois équipes.
Article rédigé par franceinfo: sport avec AFP
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 2min
Gaëlle Hermet capitaine de l'Équipe de France féminine de rugby, le 16 mars 2018. (PAUL ELLIS / AFP)

Si habituellement les tournois masculins et féminins se déroulent en parallèle, cette année sera quelques peu différente pour les féminines. "On s'adapte forcément à la situation sanitaire mondiale actuelle. Ça va être une formule particulière mais ça reste un Tournoi des six nations. On se prépare donc pour", expliquait la capitaine de l'Équipe de France Gaëlle Hermet, lors d'une visioconférence. "On a la chance de pouvoir jouer aujourd'hui malgré la situation, c'est important de le souligner", a insisté la troisième ligne du Stade toulousain.

Moins d'une semaine après la fin du Tournoi masculin, conclu par les Bleus à la 2e place, après sa défaite vendredi dernier contre l'Ecosse (27-23), l'équipe féminine débutera la compétition une semaine après. "Ça va permettre aux supporters d'avoir une continuité par rapport aux garçons", estimait Gaëlle Hermet.

Les Française commenceront la compétition face au pays de Galles, à Vannes. Les Bleues se rendront ensuite en Irlande le 17 avril avant de disputer un troisième et dernier match, de classement, le 24 avril, contre une équipe de l'autre poule, composée de l'Ecosse, de l'Italie et de l'Angleterre.

Le Tournoi va permettre aux Bleues de digérer le report de la Coupe du monde en Nouvelle-Zélande de 2021 à 2022, en raison de la pandémie de Covid-19 : "Quand on est compétiteur, qu'on prépare un événement et qu'on est à six mois de l'échéance, c'est forcément une déception d'apprendre le report. Maintenant, on essaie de positiver en se disant que, peut-être, dans un an, les conditions sanitaires seront meilleures, que l'engouement autour de la Coupe du monde sera encore plus grand, avec pourquoi pas des spectateurs dans les stades", a-t-elle ajouté.

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