La Pologne tenue en échec par la Grèce
Dans la première période, les Grecs ont fait illusion dans un premier quart d'heure équilibré au milieu de terrain, même si les Polonais affichaient d'entrée leur détermination en mettant du rythme. Ils se créaient rapidement la première occasion sur un centre de Pieszeck mal négocié et sur lequel une la reprise de Murawski était détournée par Chalkias (4e). Les Polonais mettaient davantage de pression dans la partie en se projetant rapidement vers l'avant, grâce à des latéraux très actifs dans la récupération en premier rideau, mais aussi dans leur apport offensif sur les côtés. Sur un premier débordement, le centre de Pieszeck était trop appuyé pour trouver Lewandoski. Mais ce n'était que partie remise, car quasiment dans l'action suivante, ce même Pieszeck, bien servie par Obraniak sur un dédoublement, adressait un nouveau centre parfait qui cette fois trouvait la tête de Lewandoski qui ouvrait le score pour la Pologne (1-0, 18e).
Un carton qui fait voir rouge
Après ce but, les Grecs tentaient de reprendre la main mais, s'ils faisaient jeu égal dans la récupération, ils avaient bien du mal à tenir le ballon et à pouvoir construire, par un manque de liant. Les Polonais continuaient de remonter très vite les ballons, mais confondaient souvent vitesse et précipitation, laissant deux ou trois contres dont un coup france dangereux à la demie-heure de jeu par des Grecs qui avaient toutefois du mal à profiter de ces rares occasions. Au fil des minutes, les Polonais semblaient baisser de pied en se montrant moins explosifs même s'ils restaient vigilants. Les Grecs comptaient sur un coup de pied arrêté pour s'en sortir mais le match tombait dans un certaine léthargie que réveilait à peine l'ambiance du stade de Varsovie. De part et d'autres, on commettait d'erreur dans les congtrôles défensifs . La partie connaissait toutefois un premier tournant à la 45e minute lorsque l'arbitre espagnol Velasco Carballo sortait un carton rouge pour une faute imaginaire de Papasthapopoulos, déjà averti un peu plus tôt pour une autre faute toute aussi vénielle. Cela avait le don de faire monter la tension d'un cran, d'autant que peu après le référé oublait une main polonaise de Perquis qui glissait dans la surface sur un tacle raté. Ce qui irritait encore davantage les Grecs.
La pause calmait tout ce beau monde mais les Polonais, qui pensaient être alors sur une bonne dynamique, allaient rapidement déchanter.
La Pologne s'endort
Surs de leur fait, les hommes de Smuda revenaient en position de supériorité numérique avec l'intention de corser l'addition. Mais ils ne mettaient pas tous les ingrédients pour cela. Alors qu'il leur eut fallu accélerer encore davantage pour asphyxier les Grecs, ils se contentaient de développer des actiosn au petit trot, en pensant qu'ils allaient à un moment donné trouver lune nouvelle fois la faille. A ce jeu là pourtant, ils se mettaient en difficulté. Car les Grecs qui semblaient résignés et sans ressort, proftaient de leur première véritable incursion, pour déborder sur la droite par Torosidis dont le centre était repris de façon opportuniste par Salpingidis (1-1;51e)., profitant d'une sortie manqué de Szczesny. Le gardien polonais allait d'ailleurs se trouver à l'origine d'un nouveau tournan't dans une partie a surtout valu par ces changements de scénario. Après vingt minutes sans grosses occasions, au cours desquelles les Grecs revigorés par cetet égalisation reprenaient vraiment des couleurs alors que les Polonais à force de laisser venir, ne parvenaient plsu à reperndre la direction des opérations.
Sentant leurs adversaires friables, les Grecs se remettaient à pousser. Après un premier ballon dévissé de Samaras, par ailleurs omniprésent, c'était donc le nouveau tournant. Une sortie hasardeuse de Szczesny sur Salpingindis parti dans le dos de la défense. Le portier polonais héritait d'un carton rouge en même temps que l'arbitre indiquait le point de pénalty. Le match pouvait basculer sur cette action. Mais sur le pénalty tiré par Karagounis, le jeune gardien remplaçant Tyton plongeait du bon côté et maintenait l'espoir dans le camp polonais d'aller chercher unje victoier au forceps.
Les coéquipiers de Blaszczykowski restaient pourtant fébriles. Ils passaient tout près de la correctionnelle après un but de Kagounis, reprenant un centre de la gauche de Fortounis, que M.Valasco Carballo refusait pour une position de jors-jeu très litigieuse du capitaine grec. cela faisait beaucoup pour des Grecs passés par toutes les couleurs du kaléidoscope des circonstances dans une rencontre qui finalement ne parvenait à choisir son vainqueur. Les Polonais, touchés moralement, ne parvenaient plus à peser sur la défense adverse, ni à créer le danger alors que les Grecs se contentaient d'un nul qui finalement n'était pas si malvenu pour eux. Alors que la Pologne, qui a tactiquement très mal géré sa siguation favorable de la 1re période, et même si au bout du compte si le résultut eut pu être pire, peut logiquement être déçue.
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