Pour l'Agence, "la situation actuelle n'est pas conforme" aux recommandations qui avait été faite aux autorités antidopage kenyanes, même si a priori les parlementaires du pays se sont saisis de la question et ont étudié une loi préliminaire qui punit les athlètes convaincus de dopage. Celle-ci n'a toutefois pas encoré été adoptée. Le président de la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF), Sebastian Coe, avait menacé les athlètes kényans d'une suspension aux JO-2016 si la nouvelle législation n'était pas mise en place à temps.