Cet article date de plus de cinq ans.

Ligue 1 : Paris sans Neymar contre Nantes

Thomas Tuchel a fait l'état des lieux de son PSG vendredi, à la veille du match contre Nantes. Les qualifications en Ligue des champions, en Coupe de la Ligue et le titre de champion d'automne étant acquis, Paris va pouvoir laisser souffler Neymar. Le coach allemand est également revenu sur le cas Rabiot et les possibles achats hivernaux.
Article rédigé par Andréa La Perna
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1 min
  (ANDREJ ISAKOVIC / AFP)

Au cours d'une conférence de presse où nos confrères de L'Equipe n'étaient encore une fois pas conviés, Thomas Tuchel a fait le point à la veille du match contre Nantes (21h00). Le cas Neymar a rapidement été abordé. "Ney a joué pour nous blessé contre Belgrade. Il veut toujours jouer mais il faut être intelligent et ne pas prendre de risque avec cette blessure", a expliqué le coach du PSG. Le Brésilien est parti se reposer au Brésil avec l'autorisation du club. 

Alphonse Areola, qui est sorti à la mi-temps contre Orléans cette semaine, est incertain. Même chose pour Lassana Diarra et Angel Di Maria. L'Argentin, lui aussi blessé en coupe, va faire un dernier test. "Il joue avec beaucoup de douleurs depuis deux semaines", a ajouté Tuchel. 

Bien sûr, l'affaire Adrien Rabiot a été abordée. Le milieu de terrain a fait comprendre qu'il comptait quitter le club en fin de saison, libre. Antero Henrique a décidé de l'écarter pour faire pression. Selon Tuchel, le match contre Marseille n'a pas été la cassure fatidique. Rabiot et Mbappé avaient été mis sur le banc, mais leur apport respectif a été bien différent après leur entrée.

Le mercato approche et le coach allemand dit avoir besoin "d'un deuxième Verratti et d'un deuxième Marquinhos", surtout si Rabiot reste sur la touche. Il avait déjà pointé les manques dans ce secteur cet été, mais la potentielle sanction du fair-play financier a sans doute poussé le PSG à ne pas tenter le diable.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.