: Vidéos Le match Bastia-Lyon arrêté à la mi-temps après des échauffourées entre spectateurs corses et joueurs lyonnais
Plusieurs supporteurs corses s'en sont pris à deux reprises à des joueurs lyonnais, avant le début du match et à la mi-temps.
Le match Bastia-OL a dû être arrêté, dimanche 16 avril, après des heurts entre supporters corses et joueurs lyonnais. Des supporters bastiais ont pénétré sur la pelouse du stade Armand-Cesari de Furiani (Haute-Corse) pour s'en prendre, lors de l'entraînement, à l'Olympique lyonnais, venu jouer ce match pour le compte de la 33e journée de Ligue 1 contre Bastia. Alors que la rencontre a finalement débuté avec du retard, les heurts ont repris à la mi-temps, contraignant les organisateurs à mettre un terme au match, comme l'a rapporté l'OL sur Twitter.
.@SCBastia - @OL
— OL_Plus (@OL_Plus) 16 avril 2017
La séquence de l'agression dans la longueur#TeamOL #OL #SCBOL pic.twitter.com/JEfygNNWpB
"Des supporters bastiais sont entrés sur la pelouse pour s'en prendre aux joueurs lyonnais qui terminaient leur échauffement", avait indiqué le compte Twitter officiel de l'OL. Le coup d'envoi de la rencontre, prévu à 17 heures, a dû être retardé de 50 minutes.
Des supporters bastiais sont entrés sur la pelouse pour s'en prendre aux joueurs lyonnais qui terminaient leur échauffement... #SCBOL
— Olympique Lyonnais (@OL) 16 avril 2017
Mais à la mi-temps, dans des circonstances qui restent à éclaircir, les heurts entre joueurs lyonnais et supporters bastiais ont repris, contraignant les organisateurs à mettre fin au match.
#SCBOL
— beIN SPORTS (@beinsports_FR) 16 avril 2017
Nouveaux incidents à Bastia à la mi-temps https://t.co/DuAfa5Cdun
Dans un communiqué, la Ligue de Football Professionnel (LFP), a dénoncé le "comportement inqualifiable d'une partie des supporters du stade Armand-Césari". L'organisation a demandé "au SC Bastia de prendre toutes les mesures afin de pouvoir procéder aux interdictions de stade envers les individus responsables de ces agissements".
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.