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Ligue 1 : avant le Real, Neymar brise les efforts toulousains

A cinq jours d'affronter le Real Madrid en Ligue des champions, le Paris Saint-Germain s'est imposé à Toulouse (0-1). Longtemps tenus en échec, les Parisiens s'en sont remis à Neymar pour faire la différence.
Article rédigé par Hugo Monier
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1min
Neymar (PSG) a fait plier Toulouse  (PASCAL PAVANI / AFP)

Mission accomplie avant le Real ! A cinq jours du 8e de finale aller de la Ligue des champions, le Paris Saint-Germain a pris trois points contre Toulouse (0-1). Les locaux ont longtemps courbé l'échine sans s'écrouler, avant que Neymar n'annihile leurs efforts. 

Lafont, la forme

Alban Lafont, le portier toulousain, n'a pas eu à patienter longtemps avant de s'illustrer. Dès la 5e minute, une percée de Kylian Mbappé dans la surface a permis à Presnel Kimpembe de reprendre à bout portant... sur Lafont ! Et les Toulousains ont répondu, sur une tête plongeante de Yaya Sanogo captée par Alphonse Areola. Avant de rapidement se contenter de résister aux vagues parisiennes. Lafont, en grande forme, a repoussé l'échéance avec cinq parades sur sa ligne

Neymar mate la résistance toulousaine

Mais en face de lui, le portier n'avait pas que le Paris Saint-Germain. Il avait Neymar. Sur une superbe transversale vers la surface d'Angel Di Maria, le Brésilien s'est joué d'un défenseur avant d'obliger Issa Diop à marquer dans ses propres filets (0-1, 68e). Et pas question de s'arrêter là. Neymar est passé tout proche du doublé, d'abord avec une frappe enroulée sur le montant puis un tir lointain sur la transversale. 

Lass, première timide

Un joueur jouait sans doute un peu plus gros que les autres à Toulouse. La première titularisation de Lassana Diarra avait des allures de test avant le choc contre le Real Madrid, mercredi. Alors que Thiago Motta n'est toujours pas revenu sur la pelouse, le Français, arrivé cet hiver, a une carte à jouer. Aligné en sentinelle entre Giovani Lo Celso et Adrien Rabiot, Diarra a logiquement manqué de rythme et d'automatismes. Il est trop souvent tombé dans la facilité, reculant jusqu'entre ses défenseurs centraux pour construire. De quoi laisser de nombreux doutes sur la composition parisienne, mercredi soir à Madrid. 

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