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L1/12e journée : PSG-OM et autres têtes d’affiche

Les projecteurs sont braqués sur le classico PSG-OM qui referme, dimanche soir, cette 12e journée de championnat. A suivre également : le déplacement des Lyonnais de Claude Puel à Rennes, sans oublier Brest, étonnant leader, en déplacement à Lille.

franceinfo

Radio France

Publié le 01/11/2011 23:00 Mis à jour le 02/05/2014 08:57

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Rennes – Lyon :
_ Match très attendu pour le coach lyonnais. Claude Puel croyait pouvoir enfin respirer un peu après avoir été maintenu dans ses fonctions la semaine dernière. Et patatras, l’OL s’est incliné en Ligue des champions sur la pelouse du Benfica (4-3). Une défaite qui a remis bien des choses en question. A Lisbonne, les banderoles "Puel démission" ont resurgi. On devrait les voir de nouveau dans la tribune visiteurs à Rennes.
- Sochaux – Auxerre :
  Depuis son déclic au Parc des Princes (3-2 contre le PSG), plus rien ne semble pouvoir arrêter l’AJA, pas même l’Ajax Amsterdam qui s’est incliné 1-2 mercredi en Ligue des champions au stade Abbé-Deschamps.
  Le FC Sochaux suit la courbe inverse des Bourguignons, et reste sur trois défaites d’affilée en championnat, avec 7 buts encaissés.
- Lille – Brest :
  _ Leader surprise de la L1, Brest passe un vrai test dans le Nord, même si le Losc est loin d’avoir trouvé son rythme de croisière – trois rencontres d’affilée sans victoire en championnat. Et les Bretons savent pouvoir compter sur leur défense de fer : aucun but encaissé en L1 depuis fin août.
- Paris-SG - Marseille :
  Le classico ne tombe pas au meilleur moment pour les Parisiens, qui ne décollent pas au classement.
  Pendant ce temps, Marseille s’est offert la meilleure préparation en allant se balader à Zilina, étrillé 7-0 en Ligue des champions mercredi. L’avantage psychologique penche donc nettement du côté de l’OM, qui n’a plus perdu au Parc des Princes depuis novembre 2004. L’absence de supporteurs marseillais, interdits de tribune à Paris pour des raisons de sécurité, ne devrait pas trop handicaper les champions en titre qui se sentent comme chez eux dans la capitale depuis maintenant six ans.
Gilles Halais, avec agences