Une sixième étape terriblement éprouvante
Riblon: "Tout le monde voulait être devant"
"Cette sixième étape a été rendue difficile par le vent. Tout le monde était très nerveux", explique à l'arrivée Christophe Riblon. "Tout le monde avait peur que cela bordure et tout le monde avait envie d’être devant. Cela a roulé très vite toute la journée et c’est pour cela qu’il n’y a quasiment pas eu d’échappées de la journée à cause de cela. C’est assez rare pour le souligner", ajoute, le visage marqué, le coureur de chez AG2R.
"Au final, il n’y a pas eu de cassures, mais Il fallait assurer le coup. Il fallait faire le maximum pour que nos leaders ne perdent pas de temps. C'est chose faite. Mais cela n'a pas été une partie de plaisir", confie le vainqueur d'étape à Arcalis en 2010.
Roy: "Pas une étape de transition
De son côté, le coureur de la FDJ.fr Jérémy Roy donne le même son de cloche. "Contrairement à ce que l’on peut penser ce n’était pas une étape de transition. C’était une étape nerveuse. Le peloton était compact tout au long de la journée. Il fallait être vigilant à chaque coup de freins".
"Il n'y a pas eu d’échappée fleuve. Seul, un gars de la Cofidis a essayé, mais tout seul, il ne pouvait pas aller au bout", explique l'un des capitaines de route de la FDJ. "En plus, il faisait chaud pour ne rien arranger, même si j’avais plus souffert de la chaleur lors de la dernière étape en Corse", conclut-il.
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