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Paris-Nice : La 7e étape à la loupe

A la veille de l'arrivée à Nice, Julian Alapilippe est toujours en jaune et compte toujours plus de trente secondes d'avance sur ses plus proches adversaires. Va-t-il craquer sur l'étape la plus difficile de cette 75e édition de Paris-Nice ?
Article rédigé par Christophe Gaudot
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1 min
 

►L'étape du jour : la Couillole, juge de paix

Il est très rare de voir des montées si dures sur le parcours de Paris-Nice. Le Col de la Couillole (plus haute arrivée dans l'histoire de la course), où sera jugée l'avant-dernière arrivée de ce Paris-Nice 2017, c'est quasiment 16 kilomètres d'ascension à plus de 7% de moyenne. Un véritable sacerdoce à ce moment-là de la saison. Très régulière, la pente n'offre pas de répit du pied jusqu'en haut puisque les pourcentages ne descendent pas en dessous des 6%. Depuis Nice, les coureurs auront aussi à grimper la Côte des Gattières (deuxième catégorie) puis le Col de Vence (première catégorie), un habitué de Paris-Nice et enfin le Col de Saint-Martin (première catégorie) dont la descente mènera vers le pied de l'ascension finale. De quoi faire bien mal aux jambes.

►Le profil 

►Les enjeux

Vendredi, la question, Julian Alaphilippe peut-il remporter Paris-Nice a reçu une partie de sa réponse. Sergio Henao a grignoté 19 secondes sur le maillot jaune qui a souffert. Peut-il alors tenir dans la haute montagne ? Rien n'est moins sûr. Surtout si les leaders décident d'attaquer de loin. Julian Alaphilippe est face au plus grand défi de sa jeune carrière.

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