TOUR DE FRANCE | Dans le ballet de la course
Début de la course : 17 coureurs sont échappés
Dès le départ de la course, ils prennent plusieurs minutes d'avance sur le peloton et attaquent la montée du Lautaret avec une confortable avance.
Et derrière, un ballet de voitures suiveuses
Des voitures d'équipes, qui se suivent en fonction du classement par équipe mais aussi des véhicules de l'organisation et d'invités. Des motos de média et des commissaires de course. Plus de vingt véhicules sont rangés derrière les échappés.
Une chorégraphie réglée par Radio Tour
C'est l'organisation qui, par un canal radio dédié, demande aux voitures et aux motos de monter à hauteur des coureurs voire de les doubler. Les voitures suiveuses ne doivent pas gêner le bon déroulement de la course.
Derrière les échappés, le peloton remonte
Dans la montée du Lautaret, le peloton revient lentement sur les échappés. Derrière le gros de la course, tout autant de voitures que derrière les échappés – voir plus. Elles sont gérées par les mêmes règles.
La descente à fond
À un kilomètre du haut du col, les voitures doivent accélérer. Si en montée, elles peuvent prendre de l'avance sur le peloton, celui ci revient descend beaucoup plus vite que les véhicules.
En haut du col de l'Izoard, le public attend les sportifs
Et juste avant l'arrivée des coureurs, des motos de la gendarmerie repoussent les spectateurs afin de laisser la voie libre aux sportifs.
A Risoul, les coureurs franchissent l'arrivée en solitaire
Les voitures et motos sont déviées quelques mètres avant la ligne d'arrivée. Les coureurs sont seuls face aux spectateurs.
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