Des néophytes marqués par "l’immensité du Tour"
"A l’occasion de mon premier Tour, c’est vraiment l’immensité de l’événement qui me marque le plus. Il y a du monde partout" explique Alexandre Geniez. "Cela n’a rien à voir avec les autres courses. Je ne m’étais pas trop fait d’idée sur cela. Mais, c’est exceptionnel", déclare enthousiaste le jeune coureur de la FDJ.fr.
Admiratif sur l’ampleur de l’événement, Géniez émet pourtant des réserves sur la présence "trop importante" du public dans les ascensions. "Pour moi la montée de l’Alpe comporte un gros bémol. Il faut plus sécuriser la montée. Le public est sur la route. Je ne trouve cela pas normal", s’agace-t-il. "Il faut mettre des barrières sur toute la route. Sinon, ce n’est pas gérable".
Méderel : "L’ambiance, la foule, c’est grisant"
Pour sa part, le coureur d’Europcar Kevin Reza, qui s’est montré très offensif en début de Tour, a "accompli un véritable rêve" sur cette Grande Boucle 2013. Un son de cloche partagé par son coéquipier David Veilleux. "C’est une grande fierté de terminer ce Tour du centenaire. Il y avait tellement de monde sur le bord des routes", déclare le coureur québécois. "C’était un rêve. C’était "inatteignable" quand j’étais plus jeune. Et je l’ai fait… ".
"C'était assez magique", déclare aussi le coureur de chez Sojasun Alexis Vuillermoz. "Pour mon premier Tour de France, j’ai aussi eu pas mal de supporters jurassiens lors de la dernière semaine. Mon village d'origine était derrière moi et ça fait chaud au cœur".
Un Tour de France que disputait également pour la première fois Maxime Méderel, pourtant âgé de 32 ans. "Je disputais mon premier Tour et c'était grandiose. Je travaillais depuis des années pour vivre cela et j'ai envie de revenir. L'ambiance, la foule, c'est grisant".
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.