Enfants d’Amélie Oudéa-Castéra dans le privé : le SNALC "pas intéressé" par la "polémique" mais "attentif aux actes", affirme le vice-président du syndicat

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Enfants d’Amélie Oudéa-Castéra dans le privé : le SNALC "pas intéressé" par la "polémique" mais "attentif aux actes", affirme le vice-président du syndicat
Enfants d’Amélie Oudéa-Castéra dans le privé : le SNALC "pas intéressé" par la "polémique" mais "attentif aux actes", affirme le vice-président du syndicat Enfants d’Amélie Oudéa-Castéra dans le privé : le SNALC "pas intéressé" par la "polémique" mais "attentif aux actes", affirme le vice-président du syndicat (FRANCEINFO)
Article rédigé par franceinfo
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Maxime Reppert, le vice-président national du SNALC (syndicat national des lycées, collèges, écoles et du supérieur), réagit dans le 12/13 info, samedi 13 janvier, sur la récente sortie de la ministre de l'Éducation, Amélie Oudéa-Castéra.

Amélie Oudéa-Castéra affirme avoir transféré ses enfants du public au privé en raison de l’absentéisme des enseignants. Simple maladresse excusable, ou méconnaissance coupable des dossiers de l’Éducation nationale ? "Une chose est sûre, c’est qu’elle fait un constat que nous partageons tous et qui n’est pas de la responsabilité des enseignants (…) mais tout simplement parce qu’il y a une pénurie, causée en grande partie par une politique éducative menée depuis des années", réagit Maxime Reppert, vice-président national du SNALC (syndicat national des lycées, collèges, écoles et du supérieur). 

Une obligation de résultat ?

"Depuis 2017, et même avant, on a assisté chaque année à des suppressions de postes qui dégradaient un petit plus le métier d’enseignant, et donc aujourd’hui, le résultat n’est pas une surprise, on ne trouve plus de profs", ajoute-t-il. Le vice-président du SNALC estime également que la "sortie" d’Amélie Oudéa-Castéra "donne une obligation de résultat". 

Un ministre de l’Éducation nationale se doit-il de scolariser ses enfants dans le public ? "Est-ce qu’on se pose la question si tous les élus, du maire au Premier ministre, voire au président, devaient mettre leur enfant dans le public parce qu’ils sont des élus ?", répond Maxime Reppert, qui au nom du SNALC se dit "pas intéressé" par la "polémique" mais "plutôt attentif aux actes". 

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